II. Les différents types d'action de prévention
L’OMS ou Organisation Mondiale de la Santé classe les actions de prévention de la perte d’autonomie des personnes âgées en trois catégories bien distinctes, à savoir les prévisions primaires, secondaires et tertiaires.
Prévention primaire de la perte d’autonomie
La prévention primaire intervient dans un cadre global, touchant l’ensemble de la population. Elle est incluse dans les programmes de santé publique, en référence notamment, à titre d’exemple, aux actions de prévention de l’AVC, qui représente l’une des premières causes de la perte d’autonomie chez les personnes âgées. Promotion de l’activité physique, orientation en termes de médicaments, ou encore conseils en régimes… plusieurs approches peuvent être intégrées dans ce premier niveau de prévention. Le contrôle de l’hypertension, visant particulièrement à réduire le taux de mortalité, d’hospitalisation, de démence, ou encore d’incapacité (225 000 personnes par an) dû à l’AVC, est notamment intégré dans le cadre de cette prévention primaire. Cette dernière ayant pour objectif, tant de réduire l’incidence de la maladie, que de prévenir l’apparition de nouveaux cas.
La prévention primaire de la perte d’autonomie des personnes âgées combine des actions d’ordre médical, social et environnemental. Dans le cadre médical et social, l’on peut identifier quelques acteurs majeurs, dont les Caisses d’assurance maladie, de Retraite, l’INPE, l’ARS, les mutuelles et assurances, les collectivités locales, ainsi que diverses associations, qui œuvrent dans la mise en place de différents programmes de prévention. Campagnes, ateliers, actions de solidarité et d’inclusion, ou encore développement d’activités pour les seniors constituent, à titre d’exemple, des actions de prévention réalisées par ces acteurs. Les Caisses de Retraite, collectivités, ainsi que les mutuelles et assurances prennent également part aux actions d’ordre environnemental, incluant notamment les aménagements urbains, ainsi que les aménagements des logements afin d’adapter ces derniers aux capacités des personnes âgées.
Prévention primaire de la perte d’autonomie
La prévention primaire intervient dans un cadre global, touchant l’ensemble de la population. Elle est incluse dans les programmes de santé publique, en référence notamment, à titre d’exemple, aux actions de prévention de l’AVC, qui représente l’une des premières causes de la perte d’autonomie chez les personnes âgées. Promotion de l’activité physique, orientation en termes de médicaments, ou encore conseils en régimes… plusieurs approches peuvent être intégrées dans ce premier niveau de prévention. Le contrôle de l’hypertension, visant particulièrement à réduire le taux de mortalité, d’hospitalisation, de démence, ou encore d’incapacité (225 000 personnes par an) dû à l’AVC, est notamment intégré dans le cadre de cette prévention primaire. Cette dernière ayant pour objectif, tant de réduire l’incidence de la maladie, que de prévenir l’apparition de nouveaux cas.
La prévention primaire de la perte d’autonomie des personnes âgées combine des actions d’ordre médical, social et environnemental. Dans le cadre médical et social, l’on peut identifier quelques acteurs majeurs, dont les Caisses d’assurance maladie, de Retraite, l’INPE, l’ARS, les mutuelles et assurances, les collectivités locales, ainsi que diverses associations, qui œuvrent dans la mise en place de différents programmes de prévention. Campagnes, ateliers, actions de solidarité et d’inclusion, ou encore développement d’activités pour les seniors constituent, à titre d’exemple, des actions de prévention réalisées par ces acteurs. Les Caisses de Retraite, collectivités, ainsi que les mutuelles et assurances prennent également part aux actions d’ordre environnemental, incluant notamment les aménagements urbains, ainsi que les aménagements des logements afin d’adapter ces derniers aux capacités des personnes âgées.