Un bac français international section américaine pour accéder plus facilement au système universitaire américain. « En marge du sommet de l'ONU sur la transformation de l'éducation, le ministre français de l'Éducation nationale et de la Jeunesse, Pap Ndiaye s'est rendu au Lycée Français de New York ce lundi 19 septembre 2022 pour y rencontrer les acteurs de l'enseignement français à l'étranger et les représentants du College Board, qui gère les conditions d'accès aux universités américaines » annonce un communiqué du ministère de l’Éducation nationale.
A l’occasion de ce déplacement aux États-Unis, les discussions ont avancé pour que les acquis et le diplôme du bac français section américaine soient reconnus par les universités américaines. « Initié en 2019 à la suite de la réforme du lycée et du baccalauréat général, le baccalauréat français international (BFI) remplace l'option internationale du baccalauréat (OIB) à compter de la session 2024 et s'inscrit à la fois dans la politique du Plan Langues vivantes et dans la politique d'attractivité du système scolaire français. L'offre scolaire internationale française a en effet doublé en dix ans et correspond aux besoins des élèves en mobilité. La mise en oeuvre du BFI vient renforcer la souplesse, la modularité et la reconnaissance des dispositifs internationaux déjà en place » appuie le communiqué.
Le rapprochement entre le ministère de l’Education et le College Board a notamment permis de créer une cohérence entre les deux systèmes éducatifs : « (le) partenariat avec le ministère de l'Éducation nationale et de la Jeunesse pour les sections internationales américaines et le BFI section américaine prévoit que certains enseignements de littérature, de langue, d'histoire-géographie et de mathématiques soient dispensés en intégralité en langue anglaise durant l'une des années du cycle terminal et en conformité à la fois aux programmes américains et français. Les élèves pourront ainsi obtenir simultanément le BFI et 2 à 3 Advanced Placements, des unités de crédits pédagogiques facilitant la transition vers l'enseignement supérieur américain, le tout sans alourdir davantage la charge horaire hebdomadaire et sans multiplier le nombre d'épreuves. Cela leur facilitera l'accès aux meilleures universités d'Amérique du Nord » conclue le ministère français de l’Éducation.
A l’occasion de ce déplacement aux États-Unis, les discussions ont avancé pour que les acquis et le diplôme du bac français section américaine soient reconnus par les universités américaines. « Initié en 2019 à la suite de la réforme du lycée et du baccalauréat général, le baccalauréat français international (BFI) remplace l'option internationale du baccalauréat (OIB) à compter de la session 2024 et s'inscrit à la fois dans la politique du Plan Langues vivantes et dans la politique d'attractivité du système scolaire français. L'offre scolaire internationale française a en effet doublé en dix ans et correspond aux besoins des élèves en mobilité. La mise en oeuvre du BFI vient renforcer la souplesse, la modularité et la reconnaissance des dispositifs internationaux déjà en place » appuie le communiqué.
Le rapprochement entre le ministère de l’Education et le College Board a notamment permis de créer une cohérence entre les deux systèmes éducatifs : « (le) partenariat avec le ministère de l'Éducation nationale et de la Jeunesse pour les sections internationales américaines et le BFI section américaine prévoit que certains enseignements de littérature, de langue, d'histoire-géographie et de mathématiques soient dispensés en intégralité en langue anglaise durant l'une des années du cycle terminal et en conformité à la fois aux programmes américains et français. Les élèves pourront ainsi obtenir simultanément le BFI et 2 à 3 Advanced Placements, des unités de crédits pédagogiques facilitant la transition vers l'enseignement supérieur américain, le tout sans alourdir davantage la charge horaire hebdomadaire et sans multiplier le nombre d'épreuves. Cela leur facilitera l'accès aux meilleures universités d'Amérique du Nord » conclue le ministère français de l’Éducation.