A partir du 6 février changer de banque sera beaucoup plus facile. L’entrée en vigueur de cette mesure de la loi Macron devrait changer considérablement les rapports des particuliers avec leurs banques. Désormais, les personnes qui ne sont pas satisfaites des services dont ils bénéficient ou qui trouvent mieux ailleurs pourront donner un mandat à l’établissement de leur choix pour que ce dernier se charge des démarches.
« Le changement de domiciliation des prélèvements et virements sera automatique, et devra être accompli dans un délai de 22 jours ouvrés. «Le fait que le changement de domiciliation soit automatique et qu'il soit assorti d'un délai est une réelle avancée», estime Matthieu Robin chez UFC-Que choisir » rapporte Le Figaro.
« À ce jour, c'est au client que revient la tâche fastidieuse de récupérer, auprès de la banque délaissée, le relevé des opérations récurrentes réalisées sur son compte (virements, prélèvements, etc.). C'est lui qui doit transmettre ces données à son nouvel établissement. L'ancienne banque a l'obligation de le prévenir de l'arrivée d'un chèque ou de tout autre paiement sur un compte clôturé. Mais jusqu'au 6 février, aucune date butoir ne s'imposait à elle, si bien que 250.000 à 450.000 chèques sont rejetés chaque année parce que le compte ne fonctionne plus. De tels incidents touchent jusqu'à 15 % des Français qui changent de banque » raconte le quotidien.
Une mesure qui est saluée parce qu’en facilitant les démarches de changement d’établissement, les particuliers seront plus à l’aise pour sanctionner les abus ou pratiques contestables en allant simplement voir ailleurs. Une étude de OpinionWay citée par Le Figaro, a par exemple raconté que 25% des sondés estiment qu’il est risqué de changer de banque et que seulement 4,3% des Français, d’après une autre étude Bain & Company ont changé de banque entre 2015 et 2016. « Les Français sont-ils particulièrement satisfaits de leur banque pour autant? Pas forcément. Selon l'étude de Bain, ils seraient plus nombreux à dire du mal de leur établissement qu'à le recommander. Toutes les études récentes montrent qu'une proportion significative de particuliers (12 à 25 %) envisage de changer de banque grâce à la loi Macron. Les plus susceptibles de franchir le pas sont les clients les plus jeunes et les plus aisés, souvent multibancarisés » poursuit l’article.
« Le changement de domiciliation des prélèvements et virements sera automatique, et devra être accompli dans un délai de 22 jours ouvrés. «Le fait que le changement de domiciliation soit automatique et qu'il soit assorti d'un délai est une réelle avancée», estime Matthieu Robin chez UFC-Que choisir » rapporte Le Figaro.
« À ce jour, c'est au client que revient la tâche fastidieuse de récupérer, auprès de la banque délaissée, le relevé des opérations récurrentes réalisées sur son compte (virements, prélèvements, etc.). C'est lui qui doit transmettre ces données à son nouvel établissement. L'ancienne banque a l'obligation de le prévenir de l'arrivée d'un chèque ou de tout autre paiement sur un compte clôturé. Mais jusqu'au 6 février, aucune date butoir ne s'imposait à elle, si bien que 250.000 à 450.000 chèques sont rejetés chaque année parce que le compte ne fonctionne plus. De tels incidents touchent jusqu'à 15 % des Français qui changent de banque » raconte le quotidien.
Une mesure qui est saluée parce qu’en facilitant les démarches de changement d’établissement, les particuliers seront plus à l’aise pour sanctionner les abus ou pratiques contestables en allant simplement voir ailleurs. Une étude de OpinionWay citée par Le Figaro, a par exemple raconté que 25% des sondés estiment qu’il est risqué de changer de banque et que seulement 4,3% des Français, d’après une autre étude Bain & Company ont changé de banque entre 2015 et 2016. « Les Français sont-ils particulièrement satisfaits de leur banque pour autant? Pas forcément. Selon l'étude de Bain, ils seraient plus nombreux à dire du mal de leur établissement qu'à le recommander. Toutes les études récentes montrent qu'une proportion significative de particuliers (12 à 25 %) envisage de changer de banque grâce à la loi Macron. Les plus susceptibles de franchir le pas sont les clients les plus jeunes et les plus aisés, souvent multibancarisés » poursuit l’article.