Dans un communiqué de presse de l’association « Les Amis de la Terre internationaux », plusieurs autres associations, accompagnées de divers réseaux internationaux tels que « le Réseau Action Climat international, WWF et Greenpeace », appellent François Hollande « à tenir son engagement d'arrêter tout soutien public à l'export dès lors qu'il y a utilisation du charbon. »
Le communiqué fait part d’une lettre ouverte au Président de la République, dans laquelle les associations soulignent « l'importance climatique et politique de cette mesure à 5 mois de la conférence de Paris et font cohésion derrière un message commun : le climat n'acceptera aucune exception à la fin des soutiens publics au charbon dès maintenant. La majeure partie des réserves en énergies fossiles doit rester dans le sol, et nous devons immédiatement renoncer à exploiter la quasi-totalité de celles de charbon. »
Le communiqué fait part d’une lettre ouverte au Président de la République, dans laquelle les associations soulignent « l'importance climatique et politique de cette mesure à 5 mois de la conférence de Paris et font cohésion derrière un message commun : le climat n'acceptera aucune exception à la fin des soutiens publics au charbon dès maintenant. La majeure partie des réserves en énergies fossiles doit rester dans le sol, et nous devons immédiatement renoncer à exploiter la quasi-totalité de celles de charbon. »
Arrêter le financement public à l’export pour des projets de centrales à charbon
L’association dresse ensuite le contexte dans laquelle cette lettre ouverte a vu le jour, précisant qu’elle fait suite « aux inquiétudes soulevées au niveau international depuis la publication par le gouvernement français d'une note sur la mise en oeuvre de la suppression des soutiens à l'export au charbon. » Car d'après l'analyse de plusieurs ONG françaises, « aucun régime d'exemption proposé par le gouvernement n'est compatible avec l'objectif de limite du réchauffement de la planète en dessous de 1.5°C. Pire, presque tous permettraient de continuer à octroyer des garanties publiques pour les exportations de centrales à charbon vers les plus gros marchés mondiaux jusqu'en 2020, voire 2030. »
Dans leur communiqué, les associations, accompagnés par certains réseaux internationaux, souhaitent que François Hollande réaffirme « sans plus tarder l'arrêt de tout soutien public à l'export pour des projets de centrales à charbon qui ne seraient pas équipés d'un dispositif de captage et de stockage de CO2 opérationnel. » Ils ajoutent : « Seuls une diminution de la consommation et le développement des énergies renouvelables et de l'efficacité énergétique permettront de garantir les besoins en énergie des populations. »
Une demande exigeante à quelques mois de la Conférence internationale sur le Climat (COP21) qui se tiendra Paris en novembre et en décembre.
Dans leur communiqué, les associations, accompagnés par certains réseaux internationaux, souhaitent que François Hollande réaffirme « sans plus tarder l'arrêt de tout soutien public à l'export pour des projets de centrales à charbon qui ne seraient pas équipés d'un dispositif de captage et de stockage de CO2 opérationnel. » Ils ajoutent : « Seuls une diminution de la consommation et le développement des énergies renouvelables et de l'efficacité énergétique permettront de garantir les besoins en énergie des populations. »
Une demande exigeante à quelques mois de la Conférence internationale sur le Climat (COP21) qui se tiendra Paris en novembre et en décembre.