Fin avril le président Emmanuel Macron avait annoncé la création d’un Conseil de défense écologique (CDE). La première réunion de cette instance gouvernementale s’est réunie jeudi 23 mai à l’Elysée. En présence du président, du premier ministre et de treize ministre concernés par l’écologie dans leurs dossiers, un bilan a été dressé. A quelques jours des élections européennes où l’action environnementale tient une place centrale, la réunion a pris des airs de défense du bilan de l’exécutif. « Selon un conseiller de la présidence, l'idée de ce comité de suivi est de maintenir la pression sur ces dossiers et être sûrs qu'ils avancent. De son côté, le Premier ministre sait qu'il est attaqué, à trois jours des élections européennes. Au Conseil de défense écologique, il s'est défendu de prendre part à une réunion électoraliste. Le gouvernement a longuement expliqué les mesures déjà prises depuis deux ans, et pour Édouard Philippe, les choses vont dans le bon sens » rapporte Europe 1.
La radio cite ensuite le premier ministre qui fait l’apologie de l’action de son gouvernement. « Non pas que nous ayons à rougir de notre bilan en la matière. La querelle politicienne et le french-bashing ne doivent pas masquer l'essentiel. Très peu de pays ont fait autant que la France en matière de transition écologique ces dernières années. Je tiens à partager ce bilan avec Nicolas Hulot qui, au ministère chargé de la Transition écologique, l'a mené pendant un an à nos côtés » a affirmé Edouard Philippe.
Au-delà d’un bilan politique général, on retient surtout du premier CDE qu’il a débouché sur l’abandon du projet de la Montagne d’or en Guyane, estimant qu’il est incompatible avec la direction écologique générale. La création d’une vingtaine de réserves nationales supplémentaires d’ici 2022 a également été annoncée.
La radio cite ensuite le premier ministre qui fait l’apologie de l’action de son gouvernement. « Non pas que nous ayons à rougir de notre bilan en la matière. La querelle politicienne et le french-bashing ne doivent pas masquer l'essentiel. Très peu de pays ont fait autant que la France en matière de transition écologique ces dernières années. Je tiens à partager ce bilan avec Nicolas Hulot qui, au ministère chargé de la Transition écologique, l'a mené pendant un an à nos côtés » a affirmé Edouard Philippe.
Au-delà d’un bilan politique général, on retient surtout du premier CDE qu’il a débouché sur l’abandon du projet de la Montagne d’or en Guyane, estimant qu’il est incompatible avec la direction écologique générale. La création d’une vingtaine de réserves nationales supplémentaires d’ici 2022 a également été annoncée.