La transition énergétique et climatique doit être financée. Et pour les petits producteurs ou pays en voie de développement, le manque de financement est le principal frein. C’est la vocation du Fonds vert pour le climat. Une mission qui devient très concrète avec des fonds dirigés vers de projets. « L'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) se félicite de la décision du Fonds vert pour le climat (FVC) d'approuver le financement de trois nouveaux projets en Bolivie, au Cambodge et aux Philippines, évalués à 145,3 millions d'USD. Ces initiatives nationales, soutenues par la FAO, visent à faciliter l'adaptation et la résilience face au changement climatique des petits exploitants, des populations locales et d'autres acteurs de la chaîne de valeur dont les pratiques et les moyens de subsistance agricoles sont de plus en plus menacés par des facteurs météorologiques et climatiques », nous apprend la FAO.
L’intérêt de ces projets repose sur l’articulation des problématiques sociales et de développement avec les enjeux climatiques. « En Bolivie, l'un des pays les plus vulnérables face au changement climatique, le projet de la FAO et du FVC viendra appuyer les mesures prises par les autorités dans la macrorégion des hautes vallées, une zone courant du nord au sud du pays, de la cordillère des Andes au bassin amazonien, et dont l'altitude moyenne est de 2 000 mètres au-dessus du niveau de la mer. La région, qui comprend 65 municipalités réparties sur plus de 8 millions d'hectares, est l'une des plus vulnérables face aux sécheresses en raison du climat semi-aride de la Bolivie et des faibles ressources en eau disponibles pendant la saison sèche. Le changement climatique menace les moyens de subsistance des agriculteurs vulnérables car il soumet les ressources en eau à une pression accrue, sans compter qu'une gestion défaillante des sols pèse également sur la productivité agricole » explique la FAO.
Avec 63,3 millions de dollars, dont près de la moitié sur fonds publics locaux, la Bolivie est le projet le plus important des trois. Au Cambodge 42,8 millions de dollars seront investis tandis qu’une enveloppe de 39,2 millions de dollars est annoncée pour les Philippines ; dans les deux cas pour des projets d’accompagnement du secteur primaire.
Au total le Fonds vert pour le climat annonce soutenir des projets à hauteur d’un milliard de dollars.
L’intérêt de ces projets repose sur l’articulation des problématiques sociales et de développement avec les enjeux climatiques. « En Bolivie, l'un des pays les plus vulnérables face au changement climatique, le projet de la FAO et du FVC viendra appuyer les mesures prises par les autorités dans la macrorégion des hautes vallées, une zone courant du nord au sud du pays, de la cordillère des Andes au bassin amazonien, et dont l'altitude moyenne est de 2 000 mètres au-dessus du niveau de la mer. La région, qui comprend 65 municipalités réparties sur plus de 8 millions d'hectares, est l'une des plus vulnérables face aux sécheresses en raison du climat semi-aride de la Bolivie et des faibles ressources en eau disponibles pendant la saison sèche. Le changement climatique menace les moyens de subsistance des agriculteurs vulnérables car il soumet les ressources en eau à une pression accrue, sans compter qu'une gestion défaillante des sols pèse également sur la productivité agricole » explique la FAO.
Avec 63,3 millions de dollars, dont près de la moitié sur fonds publics locaux, la Bolivie est le projet le plus important des trois. Au Cambodge 42,8 millions de dollars seront investis tandis qu’une enveloppe de 39,2 millions de dollars est annoncée pour les Philippines ; dans les deux cas pour des projets d’accompagnement du secteur primaire.
Au total le Fonds vert pour le climat annonce soutenir des projets à hauteur d’un milliard de dollars.