Lutter contre le sexisme, c’est faire de la RSE. Comme pour toutes les discriminations, l’entreprise et les institutions ont un rôle à jouer dans ce domaine. De ce point de vue, certaines entreprises font appel à des chartes extérieures comme « Bye Bye sexisme ». Rédigée et portée par Business Professionnal Women (BPW), cette charte vise à donner un programme aux entreprises qui veulent bien la signer.
« Les signataires, pour certains déjà engagés au quotidien, s’attelleront à : œuvrer pour l'égalité professionnelle effective y compris dans les instances dirigeantes ; traiter les hommes et les femmes de manière équitable au travail, agir contre les discriminations et les propos sexistes ; promouvoir l'éducation, la formation et le développement professionnel des femmes ; promouvoir le respect des femmes en favorisant leur contribution dans tous les métiers et domaines d'action de l'entreprise ; promouvoir l'égalité auprès des partenaires de l'entreprise et dans la communication en général ; mesurer et faire connaître les progrès réalisés pour atteindre l'égalité des sexes » rapporte le quotidien régional La Provence.
Le quotidien local rapporte qu’Aix Marseille Université (AMU) vient de signer cette charte. « Aux promesses sur papier, l'AMU y ajoute des actions concrètes sur le terrain visant à lutter contre toutes les discriminations en matière de formation, de recherche, de management du personnel et de valorisation de la politique de l'université. Pour exemple, un dispositif de prévention et un numéro unique permettent aux victimes de harcèlement sexuel ou de toutes formes de violences de signaler anonymement les attitudes inappropriées » explique le journal. « Nous avons des actions de formation de nos jury de recrutement pour faire en sorte que (culturellement) la vision que l'on a de l'égalité homme-femme puisse changer, sur le recrutement en particulier » assure le directeur d’Aix Marseille Universitaire, Eric Berton, cité par La Provence.
« Les signataires, pour certains déjà engagés au quotidien, s’attelleront à : œuvrer pour l'égalité professionnelle effective y compris dans les instances dirigeantes ; traiter les hommes et les femmes de manière équitable au travail, agir contre les discriminations et les propos sexistes ; promouvoir l'éducation, la formation et le développement professionnel des femmes ; promouvoir le respect des femmes en favorisant leur contribution dans tous les métiers et domaines d'action de l'entreprise ; promouvoir l'égalité auprès des partenaires de l'entreprise et dans la communication en général ; mesurer et faire connaître les progrès réalisés pour atteindre l'égalité des sexes » rapporte le quotidien régional La Provence.
Le quotidien local rapporte qu’Aix Marseille Université (AMU) vient de signer cette charte. « Aux promesses sur papier, l'AMU y ajoute des actions concrètes sur le terrain visant à lutter contre toutes les discriminations en matière de formation, de recherche, de management du personnel et de valorisation de la politique de l'université. Pour exemple, un dispositif de prévention et un numéro unique permettent aux victimes de harcèlement sexuel ou de toutes formes de violences de signaler anonymement les attitudes inappropriées » explique le journal. « Nous avons des actions de formation de nos jury de recrutement pour faire en sorte que (culturellement) la vision que l'on a de l'égalité homme-femme puisse changer, sur le recrutement en particulier » assure le directeur d’Aix Marseille Universitaire, Eric Berton, cité par La Provence.