Biodiversité, climat, pollution et nutrition seraient-ils aujourd'hui liés ? L'association « Bon pour le climat » réunit des restaurateurs mais également de consommateurs férus de cuisine. Agée de bientôt quatre mois, l’association souhaite mettre à l’honneur une nouvelle manière de cuisiner, respectueuse de l’environnement. Restaurateurs et particuliers peuvent désormais faire partie de « Bon pour le Climat », à condition de présenter des produits locaux et de saison, avec une préférence pour le végétaux aux protéines animales. L’inscription à l’association nécessite aussi une participation financière, grâce à laquelle ils peuvent bénéficier des bons conseils du site internet de l’association, mais aussi de son logo.
" Réduire les transports
François Pasteau, le Président de l’association, lui-même restaurateur, explique au journal Le Figaro: « Utiliser des produits locaux permet de réduire les transports. Les protéines animales, elles, dégagent plus de méthane et ont donc un impact environnemental plus important». Pour les adhérents à « Bon pour le climat », il est également prévu que soit installé dans le courant de l’été un système de localisation afin que les clients puissent se rendre e particulier dans leur restaurant.
Exit les plats surgelés qu’on fait réchauffer, pour l’association, il s’agit de surprendre chacun de ses clients en mettant à l’honneur des plats parfois oubliés, mais aussi de lier respect de l’environnement, santé publique et gourmandise. Car tous les clients aiment savoir la provenance de ce qu’il déguste et aiment connaître l’histoire des producteurs locaux, à l’origine de ce qui se trouve dans leur assiette. Restaurateurs et clients se trouvent désormais un point commun : la responsabilité sociale et de l’environnement qu’ils partagent. « Il faut une prise de conscience pour consommer mieux, de façon durable et dans le respect des produits », ajoute François Pasteau.
Exit les plats surgelés qu’on fait réchauffer, pour l’association, il s’agit de surprendre chacun de ses clients en mettant à l’honneur des plats parfois oubliés, mais aussi de lier respect de l’environnement, santé publique et gourmandise. Car tous les clients aiment savoir la provenance de ce qu’il déguste et aiment connaître l’histoire des producteurs locaux, à l’origine de ce qui se trouve dans leur assiette. Restaurateurs et clients se trouvent désormais un point commun : la responsabilité sociale et de l’environnement qu’ils partagent. « Il faut une prise de conscience pour consommer mieux, de façon durable et dans le respect des produits », ajoute François Pasteau.