Depuis des mois que l’on parle de l’enjeu des grippes hivernales dans un contexte de Covid-19, on ne peut pas dire que le succès soit au rendez-vous. En quelques jours, les stocks qui devaient tenir d’un mois ont été épuisés en quelques jours et attendent d’être reconstitués. « Face à la deuxième vague de l’épidémie de coronavirus, les pharmaciens s’apprêtent à jongler de nouveau avec leurs patients. Comme si le tableau n’était pas assez sombre, ils doivent cet automne faire face à une rupture de stock de vaccins contre la grippe. Dans la pharmacie du Commerce, dans le XVe arrondissement de Paris, sa gérante, Céline, explique que sa première livraison, en octobre, a été épuisée en seulement trois jours alors qu’elle était censée tenir tout le mois. Une seconde livraison doit arriver entre le 1er et le 20 novembre » rapporte Libération .
C’est-à-dire donc que durant le moment le plus fort de la reprise de l’épidémie, il sera impossible de se protéger de la grippe. Alors que chaque année, novembre est le moment où les services de réanimation sont sous pression des maladies respiratoire, il est frustrant de remarquer une pénurie de vaccins. Une situation qui ne sera certainement pas réglée dans les prochaines semaines. « Stéphanie Randazzo dirige, elle, plusieurs pharmacies dont deux à Paris. Trois jours après le début de la campagne de vaccination, le 13 octobre, les stocks de ses officines à Angoulême et à Bordeaux étaient écoulés. Devant cette ruée, elle a du mal à comprendre les déclarations du ministre de la Santé selon qui il n’y aurait pas de rupture de stock dans les pharmacies en France. Toutes les doses qu’elle a commandées seront livrées bientôt mais cela ne suffira pas, estime Stéphanie. A l’heure de la deuxième vague de Covid-19, tout le monde veut se rassurer en éliminant au moins le risque de grippe via un vaccin » appuie le quotidien.
C’est-à-dire donc que durant le moment le plus fort de la reprise de l’épidémie, il sera impossible de se protéger de la grippe. Alors que chaque année, novembre est le moment où les services de réanimation sont sous pression des maladies respiratoire, il est frustrant de remarquer une pénurie de vaccins. Une situation qui ne sera certainement pas réglée dans les prochaines semaines. « Stéphanie Randazzo dirige, elle, plusieurs pharmacies dont deux à Paris. Trois jours après le début de la campagne de vaccination, le 13 octobre, les stocks de ses officines à Angoulême et à Bordeaux étaient écoulés. Devant cette ruée, elle a du mal à comprendre les déclarations du ministre de la Santé selon qui il n’y aurait pas de rupture de stock dans les pharmacies en France. Toutes les doses qu’elle a commandées seront livrées bientôt mais cela ne suffira pas, estime Stéphanie. A l’heure de la deuxième vague de Covid-19, tout le monde veut se rassurer en éliminant au moins le risque de grippe via un vaccin » appuie le quotidien.