Artisans, indépendants, autoentrepreneurs et professions libérales sont dans le doute. S’ils arrêtent de travailler, ils ne sont pas payés. Sont-ils des activités de première nécessité ? Sans doute pas. Peuvent-ils télétravailleur ? Certainement pas tous. Et pour ceux qui le peuvent, tôt ou tard une activité nécessite des rencontres.
Le dilemme est important pour toutes ces personnes qui sont entre deux eaux. « La Fédération du bâtiment et des travaux publics d’Ille-et-Vilaine (FBTP35) laisse le choix aux entreprises, tout en multipliant les restrictions et les consignes de sécurité. Ainsi, tous les chantiers sont appelés à fermer, sauf ceux présentant une urgence : mise hors d’eau, par exemple, ou sécurisation d’un projet sensible. Cependant, certains artisans sont bien obligés de poursuivre » rapporte Ouest France .
Ceux qui travaillent seuls dans leur coin n’ont a priori pas de raison de s’arrêter. Mais la plupart des petits chantiers sont arrêtés. De quoi susciter beaucoup d’inquiétudes pour les petites entreprises qui ne savent pas quand leur activité pourra reprendre. « Concernant le service à domicile, certaines organisations, comme la Fédération du service à la personne (FEDESAP) ont mis en place un questionnaire sanitaire destiné au client pour évaluer les conditions d’interventions. Nous estimons le plus précisément le risque, et demandons toujours l’avis du salarié et du client avant d’autoriser une intervention. Pour les auto-entrepreneurs, c’est le casse-tête : d’un côté, le besoin de continuer à travailler, donc d’aller chez les clients et de croiser du monde. De l’autre, le risque de s’exposer ou d’exposer les autres » résume le quotidien local.
De manière générale les métiers qui se déplacent à domicile posent des questions. Les livraisons par exemple. Alors que ces dernières permettent de maintenir des échanges économiques et participent au respect des consignes de confinement, elles interrogent sur les particularités des métiers. Pour l’heure il leur est vivement conseiller de s’équiper de gants et de respecter scrupuleusement les règles de sécurité. Pour le reste, seule la durée de confinement pourra donner des réponses.
Le dilemme est important pour toutes ces personnes qui sont entre deux eaux. « La Fédération du bâtiment et des travaux publics d’Ille-et-Vilaine (FBTP35) laisse le choix aux entreprises, tout en multipliant les restrictions et les consignes de sécurité. Ainsi, tous les chantiers sont appelés à fermer, sauf ceux présentant une urgence : mise hors d’eau, par exemple, ou sécurisation d’un projet sensible. Cependant, certains artisans sont bien obligés de poursuivre » rapporte Ouest France .
Ceux qui travaillent seuls dans leur coin n’ont a priori pas de raison de s’arrêter. Mais la plupart des petits chantiers sont arrêtés. De quoi susciter beaucoup d’inquiétudes pour les petites entreprises qui ne savent pas quand leur activité pourra reprendre. « Concernant le service à domicile, certaines organisations, comme la Fédération du service à la personne (FEDESAP) ont mis en place un questionnaire sanitaire destiné au client pour évaluer les conditions d’interventions. Nous estimons le plus précisément le risque, et demandons toujours l’avis du salarié et du client avant d’autoriser une intervention. Pour les auto-entrepreneurs, c’est le casse-tête : d’un côté, le besoin de continuer à travailler, donc d’aller chez les clients et de croiser du monde. De l’autre, le risque de s’exposer ou d’exposer les autres » résume le quotidien local.
De manière générale les métiers qui se déplacent à domicile posent des questions. Les livraisons par exemple. Alors que ces dernières permettent de maintenir des échanges économiques et participent au respect des consignes de confinement, elles interrogent sur les particularités des métiers. Pour l’heure il leur est vivement conseiller de s’équiper de gants et de respecter scrupuleusement les règles de sécurité. Pour le reste, seule la durée de confinement pourra donner des réponses.