L’ombre de Fukushima plane sur le secteur nucléaire depuis 2011. Cette catastrophe nucléaire majeure qui nécessite encore une logistique importante au Japon a définitivement changé la vision des catastrophes naturelles par le secteur nucléaire. En témoigne la réaction de la préfecture de l’Ardèche et de l’Agence de sûreté du nucléaire (ASN) au lendemain du séisme qui a touché la vallée du Rhône.
Lundi 11 novembre en milieu de journée, les capteurs sismiques ont enregistré un tremblement de terre de 5,4 sur l’échelle de Richter. Avec un épicentre à 26 kilomètres au sud est de la ville de Privas, la Drôme et l’Ardèche ont été particulièrement touchés. « Le seuil sismique vibratoire a déclenché une alarme sur un seul des cinq capteurs présents sur le site. Aucun dégât sur les bâtiments n'a été constaté, et les installations fonctionnent normalement » a expliqué le préfet de la Drôme, Hugues Moutouh, en conférence de presse.
L’Agence de sûreté du nucléaire (ASN) a expliqué de son côté que la centrale de Tricastin ne serait pas contrôlée étant donné que ses capteurs n’ont pas enregistré de vibrations suffisantes pour déclencher les alarmes. Confirmant les déclarations de la préfecture, « L'ASN assure que le séisme n'avait provoqué « aucun dommage apparent » à ces sites, mais qu'EDF devait encore calculer l'impact exact du tremblement de terre » rapporte Le Parisien-Aujourd’hui en France .
Le quotidien relève par ailleurs les réactions des associations qui militent pour la sortie du nucléaire. Avec en tête de proue Sortir du nucléaire qui voit dans ce séisme une alerte importante qui doit encourager à se détourner de cette source d’énergie « avant qu’un accident grave ne survienne ».
Lundi 11 novembre en milieu de journée, les capteurs sismiques ont enregistré un tremblement de terre de 5,4 sur l’échelle de Richter. Avec un épicentre à 26 kilomètres au sud est de la ville de Privas, la Drôme et l’Ardèche ont été particulièrement touchés. « Le seuil sismique vibratoire a déclenché une alarme sur un seul des cinq capteurs présents sur le site. Aucun dégât sur les bâtiments n'a été constaté, et les installations fonctionnent normalement » a expliqué le préfet de la Drôme, Hugues Moutouh, en conférence de presse.
L’Agence de sûreté du nucléaire (ASN) a expliqué de son côté que la centrale de Tricastin ne serait pas contrôlée étant donné que ses capteurs n’ont pas enregistré de vibrations suffisantes pour déclencher les alarmes. Confirmant les déclarations de la préfecture, « L'ASN assure que le séisme n'avait provoqué « aucun dommage apparent » à ces sites, mais qu'EDF devait encore calculer l'impact exact du tremblement de terre » rapporte Le Parisien-Aujourd’hui en France .
Le quotidien relève par ailleurs les réactions des associations qui militent pour la sortie du nucléaire. Avec en tête de proue Sortir du nucléaire qui voit dans ce séisme une alerte importante qui doit encourager à se détourner de cette source d’énergie « avant qu’un accident grave ne survienne ».