Le secteur automobile n’est pas le secteur le plus vertueux. Les voitures polluent, l’électrique se développe mais reste très marginal et les usines font plus parler d’elles pour les plans sociaux que des démarches sociales. Pourtant une évolution sensible s’opère et la RSE semble gagner du terrain. Le classement Oekom, cette agence allemande de notation extra-financière, montre en effet que l’on peut construire des automobiles et obtenir un bon résultat.
C’est notamment le cas de PSA qui arrive en tête du secteur dans le classement avec un B comme note dans un système qui évalue de A+ à D-. Dans ce classement qui prend en compte 3 800 entreprises en fonction des informations publiées par l’entreprise et d’autres sources, le Français tire plutôt son épingle du jeu en conservant le statut de constructeur le plus responsable. « Le groupe PSA s’est distingué de ses concurrents sur quatre thématiques : la consommation de carburant de ses véhicules, les analyses de cycle de vie des produits, les standards sociaux et environnementaux dans la chaîne d’approvisionnement et enfin le développement de motorisations alternatives et de solutions de mobilité » explique le site spécialisé Largus.fr. « L'agence Oekom a notamment salué le leadership de PSA en matière d’émissions de CO2 de la flotte vendue en Europe, avec des émissions moyennes homologuées de 102,4 g/km de CO2 en 2016, contre un marché à 118,2 g/km. Elle a également apprécié les performances sécurité de ses véhicules, qui obtiennent de bons résultats aux évaluations Euro NCAP » continue le site.
S’il est évident que la production de voitures a plus de conséquences sur l’environnement et la société que beaucoup d’autres secteurs, le classement note avant tout les démarches qui vont dans le bon sens. Une approche qui du coup met en valeur la progression plutôt que l’impact global. Par ailleurs, il est important – comme l’a fait Oekom – de ne pas se focaliser uniquement sur l’aspect environnemental et intégrer d’autres facteurs de RSE. La voiture a d’ailleurs un rôle social difficile à mesurer tant l’accès à la mobilité est clé dans beaucoup d’aspects du quotidien et de la société.
C’est notamment le cas de PSA qui arrive en tête du secteur dans le classement avec un B comme note dans un système qui évalue de A+ à D-. Dans ce classement qui prend en compte 3 800 entreprises en fonction des informations publiées par l’entreprise et d’autres sources, le Français tire plutôt son épingle du jeu en conservant le statut de constructeur le plus responsable. « Le groupe PSA s’est distingué de ses concurrents sur quatre thématiques : la consommation de carburant de ses véhicules, les analyses de cycle de vie des produits, les standards sociaux et environnementaux dans la chaîne d’approvisionnement et enfin le développement de motorisations alternatives et de solutions de mobilité » explique le site spécialisé Largus.fr. « L'agence Oekom a notamment salué le leadership de PSA en matière d’émissions de CO2 de la flotte vendue en Europe, avec des émissions moyennes homologuées de 102,4 g/km de CO2 en 2016, contre un marché à 118,2 g/km. Elle a également apprécié les performances sécurité de ses véhicules, qui obtiennent de bons résultats aux évaluations Euro NCAP » continue le site.
S’il est évident que la production de voitures a plus de conséquences sur l’environnement et la société que beaucoup d’autres secteurs, le classement note avant tout les démarches qui vont dans le bon sens. Une approche qui du coup met en valeur la progression plutôt que l’impact global. Par ailleurs, il est important – comme l’a fait Oekom – de ne pas se focaliser uniquement sur l’aspect environnemental et intégrer d’autres facteurs de RSE. La voiture a d’ailleurs un rôle social difficile à mesurer tant l’accès à la mobilité est clé dans beaucoup d’aspects du quotidien et de la société.