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Il faut attendre le bon moment pour que la mesure ne soit pas une nouvelle polémique. Alors que les cas détectés sont passés sous la barre fatidique des 50 000 contamination le gouvernement a prévenu que des contraintes pourraient sauter, or il ne reste que le masque sans les transports et le passe sanitaire dans certains lieux. « Plus rare mais bien réel, le refus d'obéir aux règles sanitaires dans les transports en commun traduit ce sentiment de lassitude d'une majorité des Français, deux ans après l'entrée en vigueur du port du masque obligatoire. Le Covid-19 semble aujourd'hui loin derrière nous et pour cause, «le ralentissement de l'épidémie de SARS-CoV-2 s'est confirmé sur l'ensemble du territoire, avec une diminution des taux d'incidence (-39%) et de positivité (-5 points)», résume l'agence Santé publique France dans son point hebdomadaire publié en fin de semaine dernière. Une baisse significative du nombre de cas qui « donnera lieu à des adaptations dans les prochaines semaines» des mesures en vigueur, a ainsi souligné le président Emmanuel Macron mercredi 4 mai lors du Conseil des ministres » résume Le Figaro .
Si les masques disparaissent des trains, métros et bus, c’est une drôle d’impression qui nous prendre. Le sentiment que pour la première fois depuis plus de deux ans, nous vivons quasiment normalement. Bien sur, l’épée de Damoclès de nouvelles restrictions sera toujours au-dessus de nos têtes, mais une entrée dans l’été avec des visages autour de nous serait déjà un plus. Notamment pour les personnes concernées par les près de 50 000 PV pour non-port de masque dans les règles depuis le début de la crise sanitaire. Mais pas seulement.
« Dans le reste de l’Europe, beaucoup d'États ont assoupli leurs règles sanitaires. C'est le cas de plusieurs pays nordiques, mais également de l'Angleterre ou de l'Irlande, où le port du masque n’est plus obligatoire. L’Italie, le Portugal et certains länder allemands sont, eux, imposent les mêmes restrictions qu'en France. Des restrictions qui pourraient être levées dans les prochaines semaines » conclue Le Figaro. Un dernier argument qui pourrait faire mouche tant cette crise covid s’est nourrie des comparaisons avec nos voisins.
Si les masques disparaissent des trains, métros et bus, c’est une drôle d’impression qui nous prendre. Le sentiment que pour la première fois depuis plus de deux ans, nous vivons quasiment normalement. Bien sur, l’épée de Damoclès de nouvelles restrictions sera toujours au-dessus de nos têtes, mais une entrée dans l’été avec des visages autour de nous serait déjà un plus. Notamment pour les personnes concernées par les près de 50 000 PV pour non-port de masque dans les règles depuis le début de la crise sanitaire. Mais pas seulement.
« Dans le reste de l’Europe, beaucoup d'États ont assoupli leurs règles sanitaires. C'est le cas de plusieurs pays nordiques, mais également de l'Angleterre ou de l'Irlande, où le port du masque n’est plus obligatoire. L’Italie, le Portugal et certains länder allemands sont, eux, imposent les mêmes restrictions qu'en France. Des restrictions qui pourraient être levées dans les prochaines semaines » conclue Le Figaro. Un dernier argument qui pourrait faire mouche tant cette crise covid s’est nourrie des comparaisons avec nos voisins.
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