Le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) a très largement communiqué autour d’un rapport qu’il vient de publier sur le pastoralisme. Le document, produit conjointement avec l’Union internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) explique, quelle surprise, que le pastoralisme est la méthode la plus respectueuse de l’environnement.
Ainsi, en tête de communique le PNUE explique que « le pastoralisme - la production extensive de bétail dans les pâturages - offre d'énormes avantages à l'humanité et devrait être considéré comme un élément majeur de la transition mondiale vers une économie verte. »
Ainsi, en tête de communique le PNUE explique que « le pastoralisme - la production extensive de bétail dans les pâturages - offre d'énormes avantages à l'humanité et devrait être considéré comme un élément majeur de la transition mondiale vers une économie verte. »
L’avenir est dans des techniques ancestrales
« Lancé lors de la 3ème Conférence scientifique de la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification (UNCCD) à Cancun, Le pastoralisme et l'économie verte - un lien naturel, souligne le rôle du pastoralisme dans la sauvegarde du capital naturel présent dans un quart de la superficie des terres de la planète » continue le texte.
Ainsi, le rapport du PNUE « constate que le pastoralisme durable dans les écosystèmes de grands pâturages libres tels que les prairies désertiques, les forêts et les steppes préserve la fertilité des terres et le carbone présent dans sol et contribue à la régulation de l'eau et à la conservation de la biodiversité. Les autres avantages qu’il présente se trouvent sous la forme de produits alimentaires de grande valeur. »
Ces déclarations, aux allures d’enfonçage de portes ouvertes, démontrent que les institutions internationales reviennent petit à petit sur les dogmes d’industrialisation de l’agriculture qui étaient proposées aux pays en développement comme une solution à tous les malheurs. C’est ce que semble reconnaitre Adam Steiner, le Sous-secrétaire général de l’ONU et directeur du PNUE en déclarant que « le monde devient de plus en plus mécanisé et industrialisé pour la poursuite du progrès, il est facile d'oublier qu'il y a beaucoup à apprendre des modes de vie traditionnels comme le pastoralisme ».
Ainsi, le rapport du PNUE « constate que le pastoralisme durable dans les écosystèmes de grands pâturages libres tels que les prairies désertiques, les forêts et les steppes préserve la fertilité des terres et le carbone présent dans sol et contribue à la régulation de l'eau et à la conservation de la biodiversité. Les autres avantages qu’il présente se trouvent sous la forme de produits alimentaires de grande valeur. »
Ces déclarations, aux allures d’enfonçage de portes ouvertes, démontrent que les institutions internationales reviennent petit à petit sur les dogmes d’industrialisation de l’agriculture qui étaient proposées aux pays en développement comme une solution à tous les malheurs. C’est ce que semble reconnaitre Adam Steiner, le Sous-secrétaire général de l’ONU et directeur du PNUE en déclarant que « le monde devient de plus en plus mécanisé et industrialisé pour la poursuite du progrès, il est facile d'oublier qu'il y a beaucoup à apprendre des modes de vie traditionnels comme le pastoralisme ».