En quelques jours, le prix du baril de pétrole a augmenté de 33%. Depuis le débit de l’offensive russe en Ukraine, le marché des hydrocarbures est en ébullition. A tel point, étant donné les incertitudes qui continuent à planer sur l’avenir de la région, que le recor absolu pourrait bien être battu dans les prochaines semaines.
« Le prix du baril de Brent se rapproche de plafonds rarement atteints. Peu après l’ouverture des échanges électroniques, vers minuit, ce lundi 7 mars, le Brent pour échéance en mai, contrat de référence, est monté jusqu’à 139,13 dollars, à portée du record absolu, soit 147,50 dollars, qui date de juillet 2008. Le prix s’est ensuite replié, mais vers 0 h 30, il était encore en hausse de 9,02 %, à 128,77 dollars. Depuis le lancement de l’invasion de l’Ukraine par les troupes russes, le Brent a pris 33 %. L’autre référence du marché, le baril de West Texas Intermediate (WTI), principale variété américaine, pour échéance en avril, est lui grimpé jusqu’à 130,50 dollars. Vers 0 h 30 il s’inscrivait en hausse de 8,18 % à 125,15 dollars » rapporte l’Agence France presse.
Alors que les sanctions occidentales contre les intérêts économiques et politiques russe se sont multipliés, viser les hydrocarbures est plus délicat étant donné les conséquences sociales d’augmentations des prix. « Le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken a déclaré dimanche que les États-Unis et l’Union européenne discutaient « très activement » de la possibilité d’interdire les importations de pétrole en réponse à l’invasion de l’Ukraine. Même si le pétrole est, en théorie, exempté pour l’instant de sanctions, les exportations russes ne trouvent plus preneur, Shell étant l’un des seuls à s’y être risqué cette semaine. « Arrêtez d’acheter du pétrole russe », a plaidé dimanche, sur la chaîne CNN, le ministre ukrainien des Affaires étrangères, Dmytro Kouleba, en réaction à l’acquisition par Shell de 100 000 tonnes de pétrole russe » compile de son côté Ouest France .
« Le prix du baril de Brent se rapproche de plafonds rarement atteints. Peu après l’ouverture des échanges électroniques, vers minuit, ce lundi 7 mars, le Brent pour échéance en mai, contrat de référence, est monté jusqu’à 139,13 dollars, à portée du record absolu, soit 147,50 dollars, qui date de juillet 2008. Le prix s’est ensuite replié, mais vers 0 h 30, il était encore en hausse de 9,02 %, à 128,77 dollars. Depuis le lancement de l’invasion de l’Ukraine par les troupes russes, le Brent a pris 33 %. L’autre référence du marché, le baril de West Texas Intermediate (WTI), principale variété américaine, pour échéance en avril, est lui grimpé jusqu’à 130,50 dollars. Vers 0 h 30 il s’inscrivait en hausse de 8,18 % à 125,15 dollars » rapporte l’Agence France presse.
Alors que les sanctions occidentales contre les intérêts économiques et politiques russe se sont multipliés, viser les hydrocarbures est plus délicat étant donné les conséquences sociales d’augmentations des prix. « Le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken a déclaré dimanche que les États-Unis et l’Union européenne discutaient « très activement » de la possibilité d’interdire les importations de pétrole en réponse à l’invasion de l’Ukraine. Même si le pétrole est, en théorie, exempté pour l’instant de sanctions, les exportations russes ne trouvent plus preneur, Shell étant l’un des seuls à s’y être risqué cette semaine. « Arrêtez d’acheter du pétrole russe », a plaidé dimanche, sur la chaîne CNN, le ministre ukrainien des Affaires étrangères, Dmytro Kouleba, en réaction à l’acquisition par Shell de 100 000 tonnes de pétrole russe » compile de son côté Ouest France .