Signe que la raison peut l’emporter avec le temps. Le projet de restauration et d’aménagement du Grand Palais à Paris est finalement remis en question. La ministère de la Culture, Roselyne Bachelot a confirmé l’information du Figaro selon laquelle le projet était enterré
« La rénovation du bâtiment situé dans le 8earrondissement de Paris, lieu d’expositions mais aussi de défilés de mode ou de salons, n’est pas abandonnée mais sera moins radicale. « On sera plus dans la restauration que dans la transformation », explique-t-on Rue de Valois. Conçu en 2013, le projet de LAN prévoyait de transformer en profondeur le Grand Palais, construit pour l’exposition universelle de 1900 et aujourd’hui morcelé entre différents espaces et activités (Palais de la découverte, Galeries nationales, nef centrale, restaurant…), afin d’en faire une « machine à culture » à deux pas de l’avenue des Champs-Elysées. Les architectes comptaient notamment excaver l’espace central des 72 000 mètres carrés du bâtiment, détruire les galeries en surplomb, rendre les toits accessibles ou encore tracer une rue traversante. Objectif : accueillir jusqu’à 4 millions de visiteurs par an, contre moins de 3 aujourd’hui. La nef devait notamment doubler sa capacité et recevoir jusqu’à 11 000 personnes » rapporte Le Monde.
Selon les termes du gouvernement, le projet est mis de côté car jugé « trop pharaonique ». Une réalité qui aurait été difficile à assumer dans un contexte économique difficile, en particulier dans le secteur du tourisme. Avec plus de 450 millions d’euros de budget, les autorités estimaient que le projet ne pourrait même pas être mené à son terme.
Pour autant, l’ouverture du bâtiment est toujours prévue pour 2024 et les Jeux Olympiques. Mais désormais, les fonds dédiés serviront à l’équipe dédiée qui est sur place depuis cet été et s’attèle à utiliser les travaux de modélisation réalisés pour entamer des rénovations plus classiques.
« La rénovation du bâtiment situé dans le 8earrondissement de Paris, lieu d’expositions mais aussi de défilés de mode ou de salons, n’est pas abandonnée mais sera moins radicale. « On sera plus dans la restauration que dans la transformation », explique-t-on Rue de Valois. Conçu en 2013, le projet de LAN prévoyait de transformer en profondeur le Grand Palais, construit pour l’exposition universelle de 1900 et aujourd’hui morcelé entre différents espaces et activités (Palais de la découverte, Galeries nationales, nef centrale, restaurant…), afin d’en faire une « machine à culture » à deux pas de l’avenue des Champs-Elysées. Les architectes comptaient notamment excaver l’espace central des 72 000 mètres carrés du bâtiment, détruire les galeries en surplomb, rendre les toits accessibles ou encore tracer une rue traversante. Objectif : accueillir jusqu’à 4 millions de visiteurs par an, contre moins de 3 aujourd’hui. La nef devait notamment doubler sa capacité et recevoir jusqu’à 11 000 personnes » rapporte Le Monde.
Selon les termes du gouvernement, le projet est mis de côté car jugé « trop pharaonique ». Une réalité qui aurait été difficile à assumer dans un contexte économique difficile, en particulier dans le secteur du tourisme. Avec plus de 450 millions d’euros de budget, les autorités estimaient que le projet ne pourrait même pas être mené à son terme.
Pour autant, l’ouverture du bâtiment est toujours prévue pour 2024 et les Jeux Olympiques. Mais désormais, les fonds dédiés serviront à l’équipe dédiée qui est sur place depuis cet été et s’attèle à utiliser les travaux de modélisation réalisés pour entamer des rénovations plus classiques.