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Certes en comparaison avec la population, l’Inde est moins touchée que de nombreux pays, dont la France. Mais en plein pic de contagion, le regain des derniers jours impressionne. Depuis la fin du mois de mars, huit millions de contaminations ont été établies. « L'Inde a dépassé mardi les 20 millions de cas de Covid-19 depuis le début de la pandémie, selon les données officielles, alors que la maladie continue de faire des ravages dans les hôpitaux du pays. Au cours des dernières 24 heures, l'Inde a recensé 357.229 nouvelles contaminations, portant le total à 20,3 millions, selon le ministère de la santé. Les décès ont augmenté de 3449 pour atteindre 222.408 au total » relève 20 Minutes.
Il ne s’agit là que des chiffres absolument établis. Car avec une population de 1,3 milliard d’habitants, un territoire immense avec des disparités énormes de développement selon les régions, voir un bilan en dessous des 583 000 morts aux Etats-Uniens est peu réaliste. « La récente flambée de l'épidémie est attribuée à des rassemblements religieux et politiques autorisés ces derniers mois, ainsi qu'à l'inaction du gouvernement de Narendra Modi. Les hôpitaux sont submergés et à court de réserves d'oxygène, de médicaments, de lits, malgré l'afflux d'aide internationale ces derniers jours. Le nombre quotidien de nouvelles contaminations a toutefois diminué ces derniers jours, après avoir atteint un pic de 402.000 cas vendredi, pour tomber peu à peu à 392.500 samedi, à 368.000 dimanche et à moins de 360.000 au cours des dernières 24 heures » ajoute le quotidien gratuit.
Lundi 3 mai, les autorités sanitaires indiennes ont confirmé qu’elles espéraient que le pays avait atteint le pic épidémique de cette vague. Une situation qui devra être confirmée alors qu’en février les mêmes autorités ne parlaient que de reprise de l’activité et réouverture des lieux publics. Avec la barre des 150 millions de doses de vaccins administrées, dont 27 millions de secondes, seulement 2% de la population est vaccinée.
Il ne s’agit là que des chiffres absolument établis. Car avec une population de 1,3 milliard d’habitants, un territoire immense avec des disparités énormes de développement selon les régions, voir un bilan en dessous des 583 000 morts aux Etats-Uniens est peu réaliste. « La récente flambée de l'épidémie est attribuée à des rassemblements religieux et politiques autorisés ces derniers mois, ainsi qu'à l'inaction du gouvernement de Narendra Modi. Les hôpitaux sont submergés et à court de réserves d'oxygène, de médicaments, de lits, malgré l'afflux d'aide internationale ces derniers jours. Le nombre quotidien de nouvelles contaminations a toutefois diminué ces derniers jours, après avoir atteint un pic de 402.000 cas vendredi, pour tomber peu à peu à 392.500 samedi, à 368.000 dimanche et à moins de 360.000 au cours des dernières 24 heures » ajoute le quotidien gratuit.
Lundi 3 mai, les autorités sanitaires indiennes ont confirmé qu’elles espéraient que le pays avait atteint le pic épidémique de cette vague. Une situation qui devra être confirmée alors qu’en février les mêmes autorités ne parlaient que de reprise de l’activité et réouverture des lieux publics. Avec la barre des 150 millions de doses de vaccins administrées, dont 27 millions de secondes, seulement 2% de la population est vaccinée.
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