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Jusqu’où aller pour contraindre les derniers non vaccinés à franchir le pas ? Cette question est au cœur des discussions de tous les pouvoirs politiques depuis le début de l’année 2021. Car s’il était prévu que la ruée volontaire finirait par laisser place aux indifférents puis aux septiques, désormais pour les démocraties occidentales les choix sont multiples. Après le passe sanitaire, globalement adopté, c’est au tour de l’instauration de libertés à plusieurs vitesses en période de pic de l’épidémie de se poser.
En Autriche, un pas a été franchis avec le confinement obligatoire depuis lundi 15 novembre des deux millions de personnes qui n’ont pas été vaccinées. « Ils doivent notamment rester chez eux sauf pour aller travailler, se soigner ou se rendre dans un commerce essentiel. De leurs côtés, les commerces non essentiels sont censés vérifier le pass vaccinal de chaque client. Mais la mesure n'a pas été appliquée partout en ce premier jour de restrictions » explique LCI .
Un pays à deux vitesses avec une pression accrue sur les récalcitrants au vaccin qui, d’après les autorités locales, porte ses fruits. « Et en effet, lundi, les files d'attentes devant certains centres de vaccination étaient importantes. À Vienne, il y avait notamment dix fois plus de candidats au vaccin qu'il y a deux semaines. "Nous attendons 6000 à 8000 personnes qui ont pris rendez-vous aujourd'hui. Mais tous ceux qui viendront, même sans rendez-vous, on les vaccinera, même si on doit travailler plus tard", a déclaré la responsable d'un centre de vaccination à TF1 » ajoute la chaine d’informations.
En France, la campagne de rappel bat son plein et c’est pour l’heure le principal message relayé par le gouvernement. Les yeux rivés sur les courbes d’infections, hospitalisations et soins intensifs, l’exécutif français assure que l’éventualité de mesures supplémentaires n’est pas à l’ordre du jour mais n’est pas exclue.
En Autriche, un pas a été franchis avec le confinement obligatoire depuis lundi 15 novembre des deux millions de personnes qui n’ont pas été vaccinées. « Ils doivent notamment rester chez eux sauf pour aller travailler, se soigner ou se rendre dans un commerce essentiel. De leurs côtés, les commerces non essentiels sont censés vérifier le pass vaccinal de chaque client. Mais la mesure n'a pas été appliquée partout en ce premier jour de restrictions » explique LCI .
Un pays à deux vitesses avec une pression accrue sur les récalcitrants au vaccin qui, d’après les autorités locales, porte ses fruits. « Et en effet, lundi, les files d'attentes devant certains centres de vaccination étaient importantes. À Vienne, il y avait notamment dix fois plus de candidats au vaccin qu'il y a deux semaines. "Nous attendons 6000 à 8000 personnes qui ont pris rendez-vous aujourd'hui. Mais tous ceux qui viendront, même sans rendez-vous, on les vaccinera, même si on doit travailler plus tard", a déclaré la responsable d'un centre de vaccination à TF1 » ajoute la chaine d’informations.
En France, la campagne de rappel bat son plein et c’est pour l’heure le principal message relayé par le gouvernement. Les yeux rivés sur les courbes d’infections, hospitalisations et soins intensifs, l’exécutif français assure que l’éventualité de mesures supplémentaires n’est pas à l’ordre du jour mais n’est pas exclue.