Les entreprises sont de plus en plus nombreuses à avoir systématisé le reporting RSE. Ainsi, d’après une enquête de Malakoff Médéric et de l’Observatoire sur la Responsabilité sociétale des entreprises (Orse), 58% des sociétés ont mis en place ces rapports extra financiers en 2015. En 2014, cette proportion s’élevait à 40%. « Si les grandes entreprises de plus d’1 milliard d’euros de chiffre d’affaires sont toutes équipées, les très petites entreprises (moins de 1 million d’euros de chiffre d’affaires) et les entreprises de taille intermédiaire (chiffre d’affaires entre 100 millions et 1 milliard d’euros) doivent encore développer leurs outils de mesure » commentent Les Echos.
La situation devrait encore évoluer puisque 13% des entreprises interrogées par l’étude affirment vouloir développer cet aspect prochainement.
http://business.lesechos.fr/directions-financieres/021106155800-le-reporting-rse-se-developpe-dans-les-entreprises-200196.php?ryMDEvihZ5v9RBXo.99
La situation devrait encore évoluer puisque 13% des entreprises interrogées par l’étude affirment vouloir développer cet aspect prochainement.
http://business.lesechos.fr/directions-financieres/021106155800-le-reporting-rse-se-developpe-dans-les-entreprises-200196.php?ryMDEvihZ5v9RBXo.99
Retour sur investissement
« Il reste toutefois des progrès à faire : le risque climatique n’est pas évalué dans plus de 60 % des organisations (ou les professionnels de la RSE interrogés ne sont pas informés de cette évaluation). Même dans les plus grandes entreprises (plus de 1 milliard d’euros de CA), avec un taux de 51 % » continue le quotidien économique.
Si la question de la RSE continue à séduire un nombre croissant d’entreprises, le risque de ralentissement du phénomène est prévoir tant que le retour sur investissement sera mal mesuré. « Reste qu’aujourd’hui, les entreprises peinent encore à calculer le retour sur investissement (ou ROI pour « return on investment ») de leurs politiques RSE. Ainsi, 44 % des responsables interrogées regrettent le « manque de visibilité sur leur retour sur investissement des actions RSE » » rapporte le journal. C’est plus que les années précédentes : en 2013 30% des sondés le déploraient et 42% en 2014.
Par ailleurs, l’étude montre que le manque de ressources est souvent mis en avant par les entreprises comme un obstacle.
Si la question de la RSE continue à séduire un nombre croissant d’entreprises, le risque de ralentissement du phénomène est prévoir tant que le retour sur investissement sera mal mesuré. « Reste qu’aujourd’hui, les entreprises peinent encore à calculer le retour sur investissement (ou ROI pour « return on investment ») de leurs politiques RSE. Ainsi, 44 % des responsables interrogées regrettent le « manque de visibilité sur leur retour sur investissement des actions RSE » » rapporte le journal. C’est plus que les années précédentes : en 2013 30% des sondés le déploraient et 42% en 2014.
Par ailleurs, l’étude montre que le manque de ressources est souvent mis en avant par les entreprises comme un obstacle.