Un article en ligne d’Atlantico explique que « 'Rewilding' est le nom que les zoologues donnent à la protection des écosystèmes par la réintroduction d'espèces essentielles ». L’article ajoute que ce terme anglais peut être traduit par « réensauvagement. »
Au Danemark, le souhait de réintroduire les éléphants d’Asie
Ainsi, au Danemark, « cela se traduit par la volonté d'un conservateur de zoo de réintroduire des éléphants d'Asie. » L'article souligne que « l’idée paraît folle, mais la BBC explique que le rewilding correspond surtout à une véritable stratégie de conservation naturelle. »
En effet, « le raisonnement, derrière la proposition du conservateur, est le suivant : en Europe et en Amérique du Nord, l'expansion humaine a causé l'extinction d'un certain nombre d'espèces dont le rôle dans l'écosystème est pourtant très important. »
Car « ces environnements ont besoin d'eux, et la solution la plus faisable consiste à utiliser certains de leurs semblables venus d'Asie ou d'Afrique. »
Ainsi, « pour remplacer le Camelops disparu au Pléistocène, on recourrait au chameau de Bactriane ; pour remplacer le lion américain, le lion africain ; pour remplacer les mammouths et les gomphothères, des éléphants. »
Toute cette histoire a en fait « émergé à la publication, en 2006, d'une étude dans le prestigieux magazine Nature : c'est à l'ère du Pléistocène, il y a 11 000 ans, qu'un grand nombre de ces animaux ont commencé à disparaître – au moment où la population humaine, majoritairement composée de chasseurs-cueilleurs, croît énormément. »
L’article ajoute que « ce sont ces espèces dont l'écosystème a besoin. »
Lire l’intégralité de l’article d’Atlantico ici.
En effet, « le raisonnement, derrière la proposition du conservateur, est le suivant : en Europe et en Amérique du Nord, l'expansion humaine a causé l'extinction d'un certain nombre d'espèces dont le rôle dans l'écosystème est pourtant très important. »
Car « ces environnements ont besoin d'eux, et la solution la plus faisable consiste à utiliser certains de leurs semblables venus d'Asie ou d'Afrique. »
Ainsi, « pour remplacer le Camelops disparu au Pléistocène, on recourrait au chameau de Bactriane ; pour remplacer le lion américain, le lion africain ; pour remplacer les mammouths et les gomphothères, des éléphants. »
Toute cette histoire a en fait « émergé à la publication, en 2006, d'une étude dans le prestigieux magazine Nature : c'est à l'ère du Pléistocène, il y a 11 000 ans, qu'un grand nombre de ces animaux ont commencé à disparaître – au moment où la population humaine, majoritairement composée de chasseurs-cueilleurs, croît énormément. »
L’article ajoute que « ce sont ces espèces dont l'écosystème a besoin. »
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