Quand on parle de RSE on pense souvent à la transformation des grosses entreprises ou l’implication des grands groupes. S’il est vrai que ces structures intègrent petit à petit ces problématiques, c’est surtout dans les nouvelles structures que l’on observe une petite révolution.
Un article publié sur le site français du magazine Forbes s’arrête sur les liens entre la RSE et la transformation digitale. « De nombreux chercheurs en sciences sociales évoquent « l’institutionnalisation de la RSE », due aux pressions de la clientèle et des organisations de consommateurs en lien avec des ONG sociales. Les syndicats y croient beaucoup, d’autant plus que leurs initiatives sont parfois relayées par des actionnaires qui redoutent toujours une décote en Bourse. De plus en plus de fonds d’investissement se réfèrent à des indices de financement durable (comme le DISI, Down Jones Sustainability Index) » explique l’auteur. Par ailleurs, remarque-t-il, « le principal mouvement en faveur des valeurs ‘RSE’ provient sans doute de la forte attraction qu’exercent les start-ups auprès des jeunes diplômés. Depuis peu, les grandes entreprises se focalisent sur l’innovation digitale. Or, elles constatent que leurs ressources internes ne suffisent pas et que les jeunes diplômés, épris d’indépendance et d’esprit entrepreneurial, ayant connaissance du désenchantement de nombreux managers, sont de moins en moins séduits par les grandes organisations. »
Pour des raisons aussi diverses que l’évolution des moyens de communiquer, des modes de vie ou de la recherche de sens au travail, les générations les plus jeunes sont beaucoup plus enclines à intégrer les questions de RSE qui peuvent répondre à ses besoins. « La nouveauté est donc que les grandes structures se remettent en question, challengées par le risque d’ubérisation – à savoir être court-circuitées par des applications mobiles sur des plateformes mondiales. Au nom la transition digitale, beaucoup ont commencé à créer des espaces de travail décloisonnés, des ‘fab-labs’, des cellules d’innovation, etc. selon un modèle ouvert à l’extérieur et à la société civile » conclue très justement l’article.
Lire ici en intégralité l’article de Forbes
Un article publié sur le site français du magazine Forbes s’arrête sur les liens entre la RSE et la transformation digitale. « De nombreux chercheurs en sciences sociales évoquent « l’institutionnalisation de la RSE », due aux pressions de la clientèle et des organisations de consommateurs en lien avec des ONG sociales. Les syndicats y croient beaucoup, d’autant plus que leurs initiatives sont parfois relayées par des actionnaires qui redoutent toujours une décote en Bourse. De plus en plus de fonds d’investissement se réfèrent à des indices de financement durable (comme le DISI, Down Jones Sustainability Index) » explique l’auteur. Par ailleurs, remarque-t-il, « le principal mouvement en faveur des valeurs ‘RSE’ provient sans doute de la forte attraction qu’exercent les start-ups auprès des jeunes diplômés. Depuis peu, les grandes entreprises se focalisent sur l’innovation digitale. Or, elles constatent que leurs ressources internes ne suffisent pas et que les jeunes diplômés, épris d’indépendance et d’esprit entrepreneurial, ayant connaissance du désenchantement de nombreux managers, sont de moins en moins séduits par les grandes organisations. »
Pour des raisons aussi diverses que l’évolution des moyens de communiquer, des modes de vie ou de la recherche de sens au travail, les générations les plus jeunes sont beaucoup plus enclines à intégrer les questions de RSE qui peuvent répondre à ses besoins. « La nouveauté est donc que les grandes structures se remettent en question, challengées par le risque d’ubérisation – à savoir être court-circuitées par des applications mobiles sur des plateformes mondiales. Au nom la transition digitale, beaucoup ont commencé à créer des espaces de travail décloisonnés, des ‘fab-labs’, des cellules d’innovation, etc. selon un modèle ouvert à l’extérieur et à la société civile » conclue très justement l’article.
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