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Au début de l’année prochaine les timbres augmenteront encore. Les rouges et les verts couteront 10% de plus pour atteindre 1,16 euro et 0,97 euro. « Seuls les timbres imprimés de chez soi, via le service Montimbreenligne.fr, bénéficieront eux d'un tarif inférieur de 3 centimes. Cette augmentation est mise en place pour tenir compte de la baisse des volumes de courriers » explique Le Midi Libre.
C’est La Poste qui a annoncé ces augmentations par communiqué. « D'une manière générale, "les tarifs courriers augmenteront de 4,7 % en moyenne" tandis que "les tarifs des Colissimo pour les affranchissements domestiques des particuliers augmenteront de 2 %", a précisé l'opérateur dans un communiqué.Cela correspond aux pertes subies par la Poste : en 2018, cette dernière a connu "la baisse la plus importante jamais constatée" du courrier, avec un recul de 7,3 % des volumes distribués. Cette baisse des volumes de courriers dégrade les comptes de La Poste, dont le bénéfice d'exploitation a baissé de 11,8 % l'an dernier », lit-on plus loin.
D’année en année les baisses de volumes rendent la tâche de plus en plus compliqué pour la société. Trouver un nouvel équilibre devient crucial d’autant que les derniers résultats financiers ont montré que le courrier n’est pas le seul secteur en difficulté. « Selon l’entreprise, qui a publié ses résultats financiers 2018 le 21 février, les secteurs les plus touchés ont été les services bancaires ou téléphoniques ainsi que le courrier publicitaire. La baisse du chiffre d’affaires, elle, est limitée à -1,4%, notamment grâce à une hausse des tarifs postaux de 4,8% en moyenne : en 2019, il faut ainsi débourser 10 centimes de plus pour le timbre prioritaire (rouge) qui passe à 1,05 euro, soit une hausse de 10,5%. Le timbre vert, lui, augmentera de 8 centimes à 0,88 euro soit une hausse de 10%. En août 2018, l'inquiétude régnait quant à la possibilité d'arrêter la distribution quotidienne du courrier partout en France » analysait Économie Matin.
C’est La Poste qui a annoncé ces augmentations par communiqué. « D'une manière générale, "les tarifs courriers augmenteront de 4,7 % en moyenne" tandis que "les tarifs des Colissimo pour les affranchissements domestiques des particuliers augmenteront de 2 %", a précisé l'opérateur dans un communiqué.Cela correspond aux pertes subies par la Poste : en 2018, cette dernière a connu "la baisse la plus importante jamais constatée" du courrier, avec un recul de 7,3 % des volumes distribués. Cette baisse des volumes de courriers dégrade les comptes de La Poste, dont le bénéfice d'exploitation a baissé de 11,8 % l'an dernier », lit-on plus loin.
D’année en année les baisses de volumes rendent la tâche de plus en plus compliqué pour la société. Trouver un nouvel équilibre devient crucial d’autant que les derniers résultats financiers ont montré que le courrier n’est pas le seul secteur en difficulté. « Selon l’entreprise, qui a publié ses résultats financiers 2018 le 21 février, les secteurs les plus touchés ont été les services bancaires ou téléphoniques ainsi que le courrier publicitaire. La baisse du chiffre d’affaires, elle, est limitée à -1,4%, notamment grâce à une hausse des tarifs postaux de 4,8% en moyenne : en 2019, il faut ainsi débourser 10 centimes de plus pour le timbre prioritaire (rouge) qui passe à 1,05 euro, soit une hausse de 10,5%. Le timbre vert, lui, augmentera de 8 centimes à 0,88 euro soit une hausse de 10%. En août 2018, l'inquiétude régnait quant à la possibilité d'arrêter la distribution quotidienne du courrier partout en France » analysait Économie Matin.
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