Face à l’afflux et au phénomène de masse que représente le surf dans les Landes, des interdictions et réglementations strictes sont brandies par les autorités. Et pour cause, avec des centaines de surfeurs confirmés ou d’élèves encadrés par des moniteurs, les pratiques sauvages se multiplient, mettant en danger tout l’écosystème éconmique local.
Ouest France souligne ainsi dans un reportage publié en juillet la multiplication des contrôles effectués par les policiers municipaux de Milets-et-Maa. « L'élue a donc demandé à la police municipale de multiplier les contrôles notamment auprès des moniteurs étrangers pour s'assurer qu'ils ont bien toutes les autorisations nécessaires. "Il faut savoir qu’un moniteur doit être titulaire d’un diplôme, il doit avoir sur lui une trousse de secours, un téléphone" explique Michel, policier municipal." Et on veille dans le cadre de la prévention à ce que chaque moniteur ait le matériel nécessaire et la formation adéquate à l’enseignement du surf." Pablo, moniteur étranger accepte les contrôles avec philosophie: "Sur les Îles Canaries, où je vis, c’est plus ou moins pareil. Il y a des étrangers et des écoles étrangères. Je vois que ça marche. Des Français ouvrent des écoles et ils doivent se battre pour avoir de la place. Donc je ne suis pas contre ces nouvelles règles. Si je fais n’importe quoi, c’est sûr qu’ils me préféreront dehors, comme partout. " »
Le Point publie également un article à ce sujet, soulignant l’engouement pour le surf dans la zone et ses conséquences pour les autres formes de tourisme . Une situation assez commune finalement dans les zones prises d’assaut par le tourisme durant les périodes de vacances. Entre la manne financière que cela représente pour les professionnels locaux et les conséquences évidentes de perte d’authenticité ou de tensions d’une sur fréquentation, l’équation est un peu la même sur toutes les côtes françaises.
Ouest France souligne ainsi dans un reportage publié en juillet la multiplication des contrôles effectués par les policiers municipaux de Milets-et-Maa. « L'élue a donc demandé à la police municipale de multiplier les contrôles notamment auprès des moniteurs étrangers pour s'assurer qu'ils ont bien toutes les autorisations nécessaires. "Il faut savoir qu’un moniteur doit être titulaire d’un diplôme, il doit avoir sur lui une trousse de secours, un téléphone" explique Michel, policier municipal." Et on veille dans le cadre de la prévention à ce que chaque moniteur ait le matériel nécessaire et la formation adéquate à l’enseignement du surf." Pablo, moniteur étranger accepte les contrôles avec philosophie: "Sur les Îles Canaries, où je vis, c’est plus ou moins pareil. Il y a des étrangers et des écoles étrangères. Je vois que ça marche. Des Français ouvrent des écoles et ils doivent se battre pour avoir de la place. Donc je ne suis pas contre ces nouvelles règles. Si je fais n’importe quoi, c’est sûr qu’ils me préféreront dehors, comme partout. " »
Le Point publie également un article à ce sujet, soulignant l’engouement pour le surf dans la zone et ses conséquences pour les autres formes de tourisme . Une situation assez commune finalement dans les zones prises d’assaut par le tourisme durant les périodes de vacances. Entre la manne financière que cela représente pour les professionnels locaux et les conséquences évidentes de perte d’authenticité ou de tensions d’une sur fréquentation, l’équation est un peu la même sur toutes les côtes françaises.