Source : Pixabay, image libre de droits.
Le vélo semble être une solution à la pollution et à la sédentarisation des habitants dans les villes.
Un article en ligne du Figaro santé revient sur les bienfaits du vélo.
Un article en ligne du Figaro santé revient sur les bienfaits du vélo.
« Davantage de bénéfices que de risques »
L’article du Figaro Santé rappelle qu’ « avec son atmosphère chargée en particules toxiques et son trafic dense propice aux accidents, la ville ne semble pas être, au premier abord, le lieu idéal pour enfourcher son vélo », ajoutant toutefois que les adeptes du vélo peuvent être rassurés : « une étude menée dans le cadre du programme européen de recherche TAPAS (Transportation, Air pollution and Physical ActivitieS) et publiée début octobre dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) de l'Institut de veille sanitaire (InVS) montre que cette pratique présente davantage de bénéfices que de risques pour l'utilisateur. »
Le Figaro Santé explique qu’ « alors que la diminution des émissions de particules et parallèlement des gaz à effet de serre dans les villes est indispensable, il est urgent de mettre en place de nouvelles politiques urbaines visant à réduire le nombre de véhicules. Les chercheurs du programme TAPAS, originaires de six instituts européens, ont donc élaboré différents scénarios de transition d'un mode de transport en véhicule individuel vers des transports publics ou vers le vélo et la marche. »
Le journal a pris pour cela, ils ont pris pour exemple « la ville de Barcelone, qui, en 2007, a mis en place des vélos en libre-service. L'augmentation de l'activité physique des individus aurait permis d'épargner 12 vies par an, tandis que les décès dus aux accidents de la circulation ou à une inhalation plus importante de polluants pendant les trajets auraient augmenté de 0,16 (moins d'un mort par an).»
L’article ajoute : « En France, la majorité (70%) des accidents de vélo a lieu en ville, soit environ 2800 par an. Mais, contrairement à ce que l'on pourrait penser les accidents mortels ont lieu majoritairement à la campagne ( Plus de la moitié des 159 accidents mortels en 2014). »
Le Figaro Santé explique qu’ « alors que la diminution des émissions de particules et parallèlement des gaz à effet de serre dans les villes est indispensable, il est urgent de mettre en place de nouvelles politiques urbaines visant à réduire le nombre de véhicules. Les chercheurs du programme TAPAS, originaires de six instituts européens, ont donc élaboré différents scénarios de transition d'un mode de transport en véhicule individuel vers des transports publics ou vers le vélo et la marche. »
Le journal a pris pour cela, ils ont pris pour exemple « la ville de Barcelone, qui, en 2007, a mis en place des vélos en libre-service. L'augmentation de l'activité physique des individus aurait permis d'épargner 12 vies par an, tandis que les décès dus aux accidents de la circulation ou à une inhalation plus importante de polluants pendant les trajets auraient augmenté de 0,16 (moins d'un mort par an).»
L’article ajoute : « En France, la majorité (70%) des accidents de vélo a lieu en ville, soit environ 2800 par an. Mais, contrairement à ce que l'on pourrait penser les accidents mortels ont lieu majoritairement à la campagne ( Plus de la moitié des 159 accidents mortels en 2014). »