Un lieu de production d’eau potable et d’énergie renouvelable. C’est ce que va devenir le Vallon Dol dans le 14ème arrondissement de Marseille. Après l’autorisation de la préfecture des Bouches du Rhône pour le lancement des travaux, le lieu va s’équiper d’une centrale flottante photovoltaïque. Une première en France.
« Ce réservoir de 17 hectares est niché sur un plateau au pied du massif de l’Etoile, tout au nord de Marseille, dans un somptueux paysage de garrigue provençale. Il alimente un tiers de l’agglomération phocéenne, soit près de 300 000 personnes, et quelques communes voisines comme Allauch ou Plan-de-Cuques. Inauguré en 1973, propriété de la Société du canal de Provence (SCP), Vallon Dol stocke 3 millions de mètres cubes d’eau en provenance du Verdon, puis les oriente, au fil des besoins, vers l’usine de potabilisation de la Société des eaux de Marseille (SEM), filiale de Veolia, située une centaine de mètres en contrebas », rapporte Le Monde .
Si c’est le premier projet de la sorte qui est lancé, la stratégie est nationale. « Un appel d’offres lancé dès 2017 par la SCP a été remporté par EDF Renouvelables. Les deux entités ont ensuite créé une société commune, la SAS centrale photovoltaïque du Vallon Dol, pour déposer une demande de permis de construire en mai 2019. A l’époque, le projet doit couvrir 12 hectares, situés sur le périmètre de protection immédiate (PPI) du captage d’eau, zone établie pour interdire toute activité pouvant introduire des substances polluantes. Et produire 12 mégawatts (MW)d’électricité en période de crête, soit la consommation de près de 8 000 personnes », poursuit le quotidien.
Au-delà de la stratégie locale, cette centrale solaire sur une zone qui existe et à la place d’aucune structure de production correspond aux attentes et potentiels du photovoltaïque. Intermittent par nature, il permet d’ajouter du renouvelable dans le mix énergétique et donc de verdir l’impact de notre consommation.
« Ce réservoir de 17 hectares est niché sur un plateau au pied du massif de l’Etoile, tout au nord de Marseille, dans un somptueux paysage de garrigue provençale. Il alimente un tiers de l’agglomération phocéenne, soit près de 300 000 personnes, et quelques communes voisines comme Allauch ou Plan-de-Cuques. Inauguré en 1973, propriété de la Société du canal de Provence (SCP), Vallon Dol stocke 3 millions de mètres cubes d’eau en provenance du Verdon, puis les oriente, au fil des besoins, vers l’usine de potabilisation de la Société des eaux de Marseille (SEM), filiale de Veolia, située une centaine de mètres en contrebas », rapporte Le Monde .
Si c’est le premier projet de la sorte qui est lancé, la stratégie est nationale. « Un appel d’offres lancé dès 2017 par la SCP a été remporté par EDF Renouvelables. Les deux entités ont ensuite créé une société commune, la SAS centrale photovoltaïque du Vallon Dol, pour déposer une demande de permis de construire en mai 2019. A l’époque, le projet doit couvrir 12 hectares, situés sur le périmètre de protection immédiate (PPI) du captage d’eau, zone établie pour interdire toute activité pouvant introduire des substances polluantes. Et produire 12 mégawatts (MW)d’électricité en période de crête, soit la consommation de près de 8 000 personnes », poursuit le quotidien.
Au-delà de la stratégie locale, cette centrale solaire sur une zone qui existe et à la place d’aucune structure de production correspond aux attentes et potentiels du photovoltaïque. Intermittent par nature, il permet d’ajouter du renouvelable dans le mix énergétique et donc de verdir l’impact de notre consommation.