Le programme français d’EXTension RAisonnée du PLAteau Continental (EXTRAPLAC) s’occupe des dossiers des zones d’extension potentielles. C’est l’Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer (IFREMER) qui se charge de la partie scientifique du projet sans pour autant estimer les ressources potentielles des zones sur lesquelles la France pourrait porter son dévolu.
Plusieurs zones sont concernées par ce projet qui pourrait augmenter d’un million de kilomètres carrés la surface maritime française : la Guyane, la Nouvelle-Calédonie, les Antilles, la Réunion en priorité.
Avec ce projet les autorités françaises veulent mettre en avant les enjeux géostratégiques mais aussi écologiques, scientifiques et économiques du contrôle d’espaces maritimes.
Du 7 au 10 octobre une exposition se tiendra au siège du Conseil économique, social et environnemental (CESE) pour sensibiliser les membres de cette administration sur les enjeux et potentiels du territoire maritime français.
Plusieurs zones sont concernées par ce projet qui pourrait augmenter d’un million de kilomètres carrés la surface maritime française : la Guyane, la Nouvelle-Calédonie, les Antilles, la Réunion en priorité.
Avec ce projet les autorités françaises veulent mettre en avant les enjeux géostratégiques mais aussi écologiques, scientifiques et économiques du contrôle d’espaces maritimes.
Du 7 au 10 octobre une exposition se tiendra au siège du Conseil économique, social et environnemental (CESE) pour sensibiliser les membres de cette administration sur les enjeux et potentiels du territoire maritime français.