Jacques Mézard, ministre de la Cohésion des territoires et Nicolas Hulot, de la Transition écologique et solidaire, ont organisé une conférence de presse commune pour annoncer les projets du gouvernement pour le logement écologique. Il était donc question d’efficacité énergétique et de rénovation des bâtiments qui sont à l’origine de gaspillages.
Deux grandes annonces ont été faites : rénovation du quart du parc immobilier de l’Etat en cinq ans et rénovation de 500 000 logements par an. « Il s'agit d'un enjeu majeur pour la transition énergétique, puisque les bâtiments résidentiels et tertiaires représentent 45% de la consommation du pays en énergie » commente l’Agence France presse.
Pour ceux qui ont de la mémoire, l’objectif de 500 000 logements par an rappelle quelque chose puisque c’était le même lors du précédent pouvoir présidentiel. La promesse n’avait pas été tenue mais le gouvernement assure qu’il va y arriver en mettant sur la table 14 milliards d’euros en cinq ans. « Dans le détail, le gouvernement a repris l'objectif de 100.000 logements HLM annuels rénovés par les bailleurs sociaux, et vise 250.000 logements particuliers rénovés, également par an, grâce à des mécanismes existants (crédit d'impôt, ECO-PTZ, certificats d'économie d'énergie, etc.). Le gouvernement a déjà prévu de réformer certaines de ces aides, comme le CITE, qui sera transformé en prime en 2019 et exclura mi-2018 certains travaux » poursuit l’AFP. L’idée ici est avant tout de soutenir les foyers les plus précaires qui sont souvent ceux qui occupent des logements aux performances énergétiques les plus basses. La mesure est donc aussi sociale puisqu’elle équivaut à subventionner des travaux qui à terme permettront des économies.
Autre mesure forte, qui a déjà fait les grands titres, un bonus-malus est envisagé en fonction de la performance énergétique. Le procédé n’est pas encore au point, mais un groupe de travail devrait être chargé de réfléchir à ces « nouvelle incitations réglementaires ou fiscales », d’après des propos rapportés par l’agence de presse.
Deux grandes annonces ont été faites : rénovation du quart du parc immobilier de l’Etat en cinq ans et rénovation de 500 000 logements par an. « Il s'agit d'un enjeu majeur pour la transition énergétique, puisque les bâtiments résidentiels et tertiaires représentent 45% de la consommation du pays en énergie » commente l’Agence France presse.
Pour ceux qui ont de la mémoire, l’objectif de 500 000 logements par an rappelle quelque chose puisque c’était le même lors du précédent pouvoir présidentiel. La promesse n’avait pas été tenue mais le gouvernement assure qu’il va y arriver en mettant sur la table 14 milliards d’euros en cinq ans. « Dans le détail, le gouvernement a repris l'objectif de 100.000 logements HLM annuels rénovés par les bailleurs sociaux, et vise 250.000 logements particuliers rénovés, également par an, grâce à des mécanismes existants (crédit d'impôt, ECO-PTZ, certificats d'économie d'énergie, etc.). Le gouvernement a déjà prévu de réformer certaines de ces aides, comme le CITE, qui sera transformé en prime en 2019 et exclura mi-2018 certains travaux » poursuit l’AFP. L’idée ici est avant tout de soutenir les foyers les plus précaires qui sont souvent ceux qui occupent des logements aux performances énergétiques les plus basses. La mesure est donc aussi sociale puisqu’elle équivaut à subventionner des travaux qui à terme permettront des économies.
Autre mesure forte, qui a déjà fait les grands titres, un bonus-malus est envisagé en fonction de la performance énergétique. Le procédé n’est pas encore au point, mais un groupe de travail devrait être chargé de réfléchir à ces « nouvelle incitations réglementaires ou fiscales », d’après des propos rapportés par l’agence de presse.