La RSE par tous et pour tous dans l’entreprise. D’après une enquête de Bain & Co, relayée par le site e-rse.net , on est encore loin d’atteindre cet objectif. Si, RSE Magazine le chronique tous les jours, le concept de responsabilité touche de plus en plus d’entreprises, c’est surtout sa mise en pratique qui pose un problème. Le rapport de Bain & Co est sans appel : 90% des entreprises qui se sont mis des objectifs RSE ne les atteignent pas.
Si le cabinet s’intéresse à cette question, c’est qu’il est persuadé que la solution se trouve dans une amélioration du management, sa spécialité. La démonstration est implacable « pour 62% des interrogés dans les entreprises étudiées par le rapport, les changements RSE ou développement durable sont avant tout une question de réputation pour l’entreprise. Cela veut dire qu’une majorité de salariés n’ont pas réellement saisi l’intérêt stratégique et business de ces transformations RSE. En d’autres termes, elles seraient un joli plus pour l’entreprise, mais pas essentielle à son business », explique e-RSE.net. Et quand quelque chose est si mal compris, on peut raisonnablement en conclure qu’il a été mal expliqué.
En fait, le principal problème que rencontre aujourd’hui la RSE provient aussi de sa principale force. En devenant un concept en vogue elle s’est imposée dans le vocabulaire professionnel. Incontournable, elle a aussi un peu perdu de sa saveur. Si 90% des entreprises n’atteignent pas leurs objectifs RSE, c’est évidemment parce qu’ils ont été présenté ou insufflé comme des objectifs en décalage avec le reste des activités de l’entreprise. Et si la RSE était plus qu’un argument marketing ou la liste de pratiques responsables à favoriser ? Comme le relève très justement e-RSE.net « on le voit, les entreprises qui s’investissent (vraiment et pas uniquement sur le papier ndlr) dans la RSE et qui le font savoir se retrouvent souvent dans le top des entreprises avec la meilleure réputation ».
Lire ici en intégralité l’article de e-RSE.net et ici les conclusions du rapport de Bane & Co
Si le cabinet s’intéresse à cette question, c’est qu’il est persuadé que la solution se trouve dans une amélioration du management, sa spécialité. La démonstration est implacable « pour 62% des interrogés dans les entreprises étudiées par le rapport, les changements RSE ou développement durable sont avant tout une question de réputation pour l’entreprise. Cela veut dire qu’une majorité de salariés n’ont pas réellement saisi l’intérêt stratégique et business de ces transformations RSE. En d’autres termes, elles seraient un joli plus pour l’entreprise, mais pas essentielle à son business », explique e-RSE.net. Et quand quelque chose est si mal compris, on peut raisonnablement en conclure qu’il a été mal expliqué.
En fait, le principal problème que rencontre aujourd’hui la RSE provient aussi de sa principale force. En devenant un concept en vogue elle s’est imposée dans le vocabulaire professionnel. Incontournable, elle a aussi un peu perdu de sa saveur. Si 90% des entreprises n’atteignent pas leurs objectifs RSE, c’est évidemment parce qu’ils ont été présenté ou insufflé comme des objectifs en décalage avec le reste des activités de l’entreprise. Et si la RSE était plus qu’un argument marketing ou la liste de pratiques responsables à favoriser ? Comme le relève très justement e-RSE.net « on le voit, les entreprises qui s’investissent (vraiment et pas uniquement sur le papier ndlr) dans la RSE et qui le font savoir se retrouvent souvent dans le top des entreprises avec la meilleure réputation ».
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