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110 000 commerces sont concernés par les nouvelles restrictions. Ils sont actifs dans les seize départements touchés par le nouveau couvre-feu. Ceux qui composent l’Ile-de-France, les Alpes Maritime, la Seine maritime et l’Eure sont dans cette situation. « Les organisations patronales et fédérations des entreprises et commerces concernés sont atterrées par ce nouveau tour de vis. « C'est un sacré coup de massue pour ces commerces de 16 départements ; des entreprises déjà fragilisées », a affirmé vendredi matin François Asselin, président de la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) au micro de France Info. Il estime que le gouvernement, malgré les aides, « n'évitera pas une vague de faillites ». « On va encore se serrer les bras, se battre », ajoute-t-il, appelant à plus de « visibilité ». « C'est une vraie catastrophe parce que cela signifie qu'une partie importante du commerce français va se retrouver très largement fermée. On repart en absurdie avec cette nécessité, pour les grandes surfaces, de bâcher à nouveau une partie des rayons », déplorait jeudi soir Jacques Creyssel, délégué général de la Fédération du commerce et de la distribution (FCD) » compile Le Figaro.
Les plaies des derniers confinements n’ont pas encore été pansées que l’on repart pour ne nouvelle période de fermeture pour des zones urbaines déjà très handicapées par le couvre-feu. « Pour Sophie Brenot, présidente de la Fédération nationale des détaillants en maroquinerie et voyage, c'est « l'impression de retourner en arrière très nettement, avec toujours cette idée de distinguer commerces essentiels, non essentiels... Ça commence à devenir de plus en plus difficile. » « On espère pouvoir continuer le click&collect, mais c'est surtout histoire de voir du monde parce que pour moi, ça doit faire huit fois moins que mon chiffre normal ». Sur RFI vendredi matin, Francis Palombi, de la Confédération des commerçants de France, a évoqué «la lassitude et l'inquiétude » des commerçants. Cette confédération attend des « aides conséquentes » de la part du gouvernement. Une de ses revendications : pouvoir obtenir, dans les départements confinés, l'ouverture des vendeurs de chocolat et fleuristes à l'approche de Pâques » relève le quotidien.
Les plaies des derniers confinements n’ont pas encore été pansées que l’on repart pour ne nouvelle période de fermeture pour des zones urbaines déjà très handicapées par le couvre-feu. « Pour Sophie Brenot, présidente de la Fédération nationale des détaillants en maroquinerie et voyage, c'est « l'impression de retourner en arrière très nettement, avec toujours cette idée de distinguer commerces essentiels, non essentiels... Ça commence à devenir de plus en plus difficile. » « On espère pouvoir continuer le click&collect, mais c'est surtout histoire de voir du monde parce que pour moi, ça doit faire huit fois moins que mon chiffre normal ». Sur RFI vendredi matin, Francis Palombi, de la Confédération des commerçants de France, a évoqué «la lassitude et l'inquiétude » des commerçants. Cette confédération attend des « aides conséquentes » de la part du gouvernement. Une de ses revendications : pouvoir obtenir, dans les départements confinés, l'ouverture des vendeurs de chocolat et fleuristes à l'approche de Pâques » relève le quotidien.