« Le changement climatique entraine une élévation du niveau de la mer dans 52 petites nations insulaires du monde, qui est estimée être quatre fois plus élevée que la moyenne mondiale et qui continue d'être la plus grande menace à leur environnement et à leur développement socio-économique »commence le communiqué du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE).
S’appuyant sur un nouveau rapport qu’elle publie, l’institution internationale estime qu’il est urgent d’aller vers « une immédiate transition vers des politiques et des investissements sur l'énergie renouvelable et sur une croissance économique verte est requise pour éviter une aggravation de ces impacts. »
S’appuyant sur un nouveau rapport qu’elle publie, l’institution internationale estime qu’il est urgent d’aller vers « une immédiate transition vers des politiques et des investissements sur l'énergie renouvelable et sur une croissance économique verte est requise pour éviter une aggravation de ces impacts. »
Petites îles en danger
« Dans toutes les régions des petits insulaires en développement, les récifs coralliens, qui ont une capacité d'adaptation, sont sévèrement touchés par la hausse des températures à la surface de la mer » continue le texte. Outre les risques d’impact sur les modes de vie et la sécurité des habitants des petites îles, une perte globale de 11,9 trillions de dollars dans les années à venir est envisagée par le PNUE.
Ce sont les petits états insulaires en développement (PEID) qui sont le plus en danger. Cité dans le communiqué, le Directeur exécutif du programme des Nations Unies, Adam Steiner, rappelle que « Rio+20 a souligné que les PEID ont des vulnérabilités uniques qui nécessitent une attention particulière au cours du développement de l'agenda du développement durable afin de réaliser les actions requises pour sortir les populations de la pauvreté, créer des emplois verts et fournir de l'énergie durable pour tous.»
Au total ce sont 62 millions de personnes qui sont concernées par cette situation. Et ce alors même que ces petites îles en danger « émettent moins d'un pour cent des émissions de gaz à effet de serre. »
Ce sont les petits états insulaires en développement (PEID) qui sont le plus en danger. Cité dans le communiqué, le Directeur exécutif du programme des Nations Unies, Adam Steiner, rappelle que « Rio+20 a souligné que les PEID ont des vulnérabilités uniques qui nécessitent une attention particulière au cours du développement de l'agenda du développement durable afin de réaliser les actions requises pour sortir les populations de la pauvreté, créer des emplois verts et fournir de l'énergie durable pour tous.»
Au total ce sont 62 millions de personnes qui sont concernées par cette situation. Et ce alors même que ces petites îles en danger « émettent moins d'un pour cent des émissions de gaz à effet de serre. »