L'Institut Polaire Français Paul-Emile Victor explique dans un communiqué que cette équipe a pu "comparer le comportement alimentaire des manchots des deux colonies en mettant en relation leurs mouvements en mer avec des données journalières de concentration de glace".
Grâce aux suivis GPS, "ils ont mis en évidence une stratégie commune dans les deux colonies : plutôt que de s'alimenter dans les zones d'eau libre situées proche des colonies - comme les polynies - les manchots ont parcouru le double de distance pour se nourrir au niveau de la bordure de glace", assure l'Institut polaire dans son communiqué.
Ces résultats indiquent que "les manchots Adélie en Antarctique de l'Est favorisent des zones prévisibles en termes d'abondance de nourriture - comme la bordure de glace réputée pour abriter de grande quantité de krill - quitte à fournir plus d'effort pour les rejoindre". L'institut ajoute que "cette stratégie commune observée dans deux colonies apporte de nouveaux indices quant au potentiel d'élargir les observations faites à l'échelle d'une colonie sur les colonies adjacentes en Antarctique de l'Est." Une belle aventure à suivre.
Grâce aux suivis GPS, "ils ont mis en évidence une stratégie commune dans les deux colonies : plutôt que de s'alimenter dans les zones d'eau libre situées proche des colonies - comme les polynies - les manchots ont parcouru le double de distance pour se nourrir au niveau de la bordure de glace", assure l'Institut polaire dans son communiqué.
Ces résultats indiquent que "les manchots Adélie en Antarctique de l'Est favorisent des zones prévisibles en termes d'abondance de nourriture - comme la bordure de glace réputée pour abriter de grande quantité de krill - quitte à fournir plus d'effort pour les rejoindre". L'institut ajoute que "cette stratégie commune observée dans deux colonies apporte de nouveaux indices quant au potentiel d'élargir les observations faites à l'échelle d'une colonie sur les colonies adjacentes en Antarctique de l'Est." Une belle aventure à suivre.