Depuis l’alerte de l’OMS puis les pics de pollution qui ont touché les grandes villes françaises cet hiver, on n’a jamais autant parlé de qualité de l’air. La plupart du temps, les associations se concentrent sur les dangers des microparticules qui se concentrent à proximité des grands axes routiers. Dans un communiqué l’Institut national de la consommation veut rappeler que « la qualité de l'air intérieur des bâtiments peut être altérée par divers contaminants chimiques ou microbiologiques (tabagisme, cuisson des aliments et chauffage domestique au bois, composés des matériaux de construction, de décoration, d'ameublement et des produits de consommation courante) et provoquer des pathologies respiratoires, cutanées ou oculaires. »
Fixer des valeurs réglementaires
Les représentants des consommateurs mettent en avant le travail de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) qui « vient d'élaborer des valeurs guides fondées sur des critères sanitaires en dessous desquelles, en l'état actuel des connaissances, aucun effet sanitaire ou aucune nuisance ayant un retentissement sur la santé de la population générale n'est attendu. »
Dans ce même communiqué, les auteurs affirment que « cette pollution est présente dans 98% des logements français. » En se basant sur le travail de l’ANSES, ils espèrent que le législateur passera un texte en faveur de la protection des personnes. « Compte tenu des enjeux sanitaires pour la population, l'AFOC (Association Force ouvrière des consommateurs) propose que ces travaux servent de base aux pouvoirs publics pour fixer des valeurs réglementaires de surveillance de la qualité de l'air intérieur » continue le texte.
Enfin, c’est au niveau de la sensibilisation que les syndicat des consommateurs l’AFOC demandent à l’Etat d’agir en communiquant sur « les mesures simples qui peuvent permettre de réduire efficacement la contamination de l'air intérieur telles que par exemple l'aération par l'ouverture des fenêtres et l'utilisation de hottes aspirantes en lien avec les principales sources de contamination dans l'air intérieur (cuisson des aliments, chauffage domestique au bois, fumée de tabac). »
Dans ce même communiqué, les auteurs affirment que « cette pollution est présente dans 98% des logements français. » En se basant sur le travail de l’ANSES, ils espèrent que le législateur passera un texte en faveur de la protection des personnes. « Compte tenu des enjeux sanitaires pour la population, l'AFOC (Association Force ouvrière des consommateurs) propose que ces travaux servent de base aux pouvoirs publics pour fixer des valeurs réglementaires de surveillance de la qualité de l'air intérieur » continue le texte.
Enfin, c’est au niveau de la sensibilisation que les syndicat des consommateurs l’AFOC demandent à l’Etat d’agir en communiquant sur « les mesures simples qui peuvent permettre de réduire efficacement la contamination de l'air intérieur telles que par exemple l'aération par l'ouverture des fenêtres et l'utilisation de hottes aspirantes en lien avec les principales sources de contamination dans l'air intérieur (cuisson des aliments, chauffage domestique au bois, fumée de tabac). »