L’installation type est petite et exploitée par un particulier. Contrairement à d’autres pays qui ont lancé de vastes projets étatiques, la France a surtout vu l’hydroélectrique se développer par le bas. « Le syndicat France Hydro Électricité dénombre 2200 ouvrages de petite puissance (sur les 2500 qui existent, y compris les barrages d’EDF), responsables de 10% de la production hydroélectrique. Ils appartiennent à des particuliers ou à des communes. Ceux qui les maintiennent en activité sont souvent des passionnés, tant de l’énergie que de la rivière et de sa faune » explique Le Figaro.
Le quotidien explique dans un article dédié à ce sujet que les infrastructures actives sont l’héritage d’une transformation du patrimoine : « Les centrales nucléaires ont fait oublier qu’avant les années 1960, l’électricité provenait notamment de ces milliers de moulins et de petites centrales éparpillés au fil des cours d’eau. La plupart ont été délaissés. « Sur les 108. 000 moulins ou forges que comptait la France en 1841, il en reste environ 50.000, dont 30.000 pourraient être convertis en centrales pour fournir au moins 1,3 million de personnes en électricité » estime Pierre Meyneng, lui-même producteur d’hydroélectricité et président de la Fédération française des associations de sauvegarde des moulins (FFAM) ».
Cette particularité de l’hydroélectricité est une opportunité intéressante pour son développement en respectant la biodiversité. C’est-à-dire en multipliant les petites structures discrètes et qui peuvent en plus permettre de donner un nouveau souffle au patrimoine.
Ces dernières années, nous apprend Le Figaro, la tendance n’a pas été favorable à cette source d’énergie. Les défenseurs de l’hydroélectricité affirment que plus de 3 0000 retenues d’eau ont été détruites depuis les années 2000. « Quant aux obstacles administratifs, ils varient d’une région à l’autre. Certaines sont favorables à ce type de projet. D’autres freinent des quatre fers. Un propriétaire a ainsi promené son dossier durant cinq ans dans 14 administrations différentes, en se heurtant à des pinaillages à tous les étages. L’affaire a traîné jusqu’à l’arrivée d’une nouvelle directrice départementale des territoires et de la mer (DDTM). Ayant eu écho de l’affaire et jugeant le dossier judicieux, elle a débloqué la situation… en cinq jours » conclue Le Figaro.
Le quotidien explique dans un article dédié à ce sujet que les infrastructures actives sont l’héritage d’une transformation du patrimoine : « Les centrales nucléaires ont fait oublier qu’avant les années 1960, l’électricité provenait notamment de ces milliers de moulins et de petites centrales éparpillés au fil des cours d’eau. La plupart ont été délaissés. « Sur les 108. 000 moulins ou forges que comptait la France en 1841, il en reste environ 50.000, dont 30.000 pourraient être convertis en centrales pour fournir au moins 1,3 million de personnes en électricité » estime Pierre Meyneng, lui-même producteur d’hydroélectricité et président de la Fédération française des associations de sauvegarde des moulins (FFAM) ».
Cette particularité de l’hydroélectricité est une opportunité intéressante pour son développement en respectant la biodiversité. C’est-à-dire en multipliant les petites structures discrètes et qui peuvent en plus permettre de donner un nouveau souffle au patrimoine.
Ces dernières années, nous apprend Le Figaro, la tendance n’a pas été favorable à cette source d’énergie. Les défenseurs de l’hydroélectricité affirment que plus de 3 0000 retenues d’eau ont été détruites depuis les années 2000. « Quant aux obstacles administratifs, ils varient d’une région à l’autre. Certaines sont favorables à ce type de projet. D’autres freinent des quatre fers. Un propriétaire a ainsi promené son dossier durant cinq ans dans 14 administrations différentes, en se heurtant à des pinaillages à tous les étages. L’affaire a traîné jusqu’à l’arrivée d’une nouvelle directrice départementale des territoires et de la mer (DDTM). Ayant eu écho de l’affaire et jugeant le dossier judicieux, elle a débloqué la situation… en cinq jours » conclue Le Figaro.