« Si nous changeons l'industrie de la mode, nous pouvons changer le monde », ce slogan dans l’auditorium du Sommet de la mode de Copenhague en dit long sur les débats. C’est le site spécialisé Fashion Network qui l’a relevé dans un article dédié à la question de la RSE et de l’engagement du secteur de la mode. « L'événement a clairement pour ambition d'apporter des solutions pour rendre le secteur de la mode plus durable et responsable. Une première série de conférences a maillé cette journée avec notamment les thèmes de la transparence et de l'innovation qui ont été abordés » explique l’article.
Dans la mode, comme dans le monde du spectacle ou du cinéma, les symboles sont fondamentaux. Une image forte, une idée ou un changement de direction fera immédiatement le tour du monde. Cette particularité, ainsi que celle d’être la référence des canons de beauté, donne une responsabilité toute particulière à ce secteur.
Les débats se sont articulés autour du bilan 2017 du Boston Consulting Group avec le Fashion Agenda. « Au coeur de ce rapport prenant le pouls des progressions des sujets sociaux et environnementaux dans les marques de mode, un indice baptisé Pulse Score. Celui-ci est calculé en prenant en compte le traitement des déchets, les économies d'eau, la responsabilité sociale... » explique l’article du site spécialisé.
Le bilan n’était pas fameux. Avec 38 sur 100, c’est moins bien que les équipementiers sportifs. « Mais le secteur progresse. L'an passé, il culminait à 32/100. Les commanditaires du rapport analysent que 52 % des entreprises interrogées ont pris des décisions sur le front de la RSE. Une option qui leur permet de faire grimper de 18 points en moyenne leur note » commente Fashion Network. Une progression qui a notamment pour argument la rentabilité puisque le rapport expliquait qu’une meilleure RSE pourrait faire progresse de deux points la marge Ebit des marques.
Lire ici en intégralité l’article de Fashion Network
Dans la mode, comme dans le monde du spectacle ou du cinéma, les symboles sont fondamentaux. Une image forte, une idée ou un changement de direction fera immédiatement le tour du monde. Cette particularité, ainsi que celle d’être la référence des canons de beauté, donne une responsabilité toute particulière à ce secteur.
Les débats se sont articulés autour du bilan 2017 du Boston Consulting Group avec le Fashion Agenda. « Au coeur de ce rapport prenant le pouls des progressions des sujets sociaux et environnementaux dans les marques de mode, un indice baptisé Pulse Score. Celui-ci est calculé en prenant en compte le traitement des déchets, les économies d'eau, la responsabilité sociale... » explique l’article du site spécialisé.
Le bilan n’était pas fameux. Avec 38 sur 100, c’est moins bien que les équipementiers sportifs. « Mais le secteur progresse. L'an passé, il culminait à 32/100. Les commanditaires du rapport analysent que 52 % des entreprises interrogées ont pris des décisions sur le front de la RSE. Une option qui leur permet de faire grimper de 18 points en moyenne leur note » commente Fashion Network. Une progression qui a notamment pour argument la rentabilité puisque le rapport expliquait qu’une meilleure RSE pourrait faire progresse de deux points la marge Ebit des marques.
Lire ici en intégralité l’article de Fashion Network