On le sait tous, la date de péremption est arbitraire. Que se passerait-il dans un produit entre 23h59 et 00h01 pour qu’il ne soit plus comestible ? Evidemment, il faut bien établir une limite et c’est une question de santé publique. N’empêche que d’après le travail d’associations et observateurs avertis, les dates de péremption seraient responsables de 20% du gâchis de nourriture. C’est un levier d’action que l’on ne peut donc négliger. Cet aspect a été relevé par France Nature environnement (FNE) et l’application TooGoodToGo dans le livre blanc consacré au gaspillage alimentaire.
« Ainsi, pour réduire le gaspillage alimentaire qui représente 10 millions de tonnes par an en France et coûte 16 milliards d'euros, les auteurs de ce livre proposent, notamment, d'ajouter un jour supplémentaire sur la durée de vie des produits. Ainsi, le gaspillage alimentaire serait réduit de 0,3%, soit une réduction de 20% du gaspillage alimentaire dû aux dates de péremption. « Les distributeurs pourraient économiser 80.000 tonnes de nourriture, pour un gain financier de 100 millions d'euros. Côtés consommateurs, le gaspillage alimentaire serait réduit de 170.000 kilos dans les foyers, avec un gain financier de 350.000 euros », constate le rapport » souligne Le Figaro.
On apprend ainsi qu’un consommateur sur quatre affirme ne jamais consommer un produit périmé. La même proportion de personnes interrogées confient même qu’ils jettent es produits un jour avant la date indiquée sur le produit… Il apparait par ailleurs que ceux qui ont confiance en leur instinct et évaluent eux-mêmes la qualité d’un produit sont majoritairement les personnes le plus âgées. Plusieurs recommandations sont avancées par les associations pour lutter efficacement contre le gaspillage.
Principalement des mesures simples pour aider les consommateurs à ne pas être trop précautionneux. « La mention «à consommer de préférence avant le» est un indicateur de la qualité de nos aliments mais après cette date l'aliment ne présente pas de risque pour la santé (sauf pour les produits très sensibles, comme les rillettes, la viande crue, les fromages au lait cru). Or, selon le livre blanc, 53 % des consommateurs ne comprennent pas ces mentions. Ainsi, toute une gamme de produits pourrait voir fleurir l'indication «et aussi après». Le rapport cite l'exemple des industries laitières en norvège qui ont rajouter «mais pas mauvais après» sur des produits » rapporte Le Figaro.
« Ainsi, pour réduire le gaspillage alimentaire qui représente 10 millions de tonnes par an en France et coûte 16 milliards d'euros, les auteurs de ce livre proposent, notamment, d'ajouter un jour supplémentaire sur la durée de vie des produits. Ainsi, le gaspillage alimentaire serait réduit de 0,3%, soit une réduction de 20% du gaspillage alimentaire dû aux dates de péremption. « Les distributeurs pourraient économiser 80.000 tonnes de nourriture, pour un gain financier de 100 millions d'euros. Côtés consommateurs, le gaspillage alimentaire serait réduit de 170.000 kilos dans les foyers, avec un gain financier de 350.000 euros », constate le rapport » souligne Le Figaro.
On apprend ainsi qu’un consommateur sur quatre affirme ne jamais consommer un produit périmé. La même proportion de personnes interrogées confient même qu’ils jettent es produits un jour avant la date indiquée sur le produit… Il apparait par ailleurs que ceux qui ont confiance en leur instinct et évaluent eux-mêmes la qualité d’un produit sont majoritairement les personnes le plus âgées. Plusieurs recommandations sont avancées par les associations pour lutter efficacement contre le gaspillage.
Principalement des mesures simples pour aider les consommateurs à ne pas être trop précautionneux. « La mention «à consommer de préférence avant le» est un indicateur de la qualité de nos aliments mais après cette date l'aliment ne présente pas de risque pour la santé (sauf pour les produits très sensibles, comme les rillettes, la viande crue, les fromages au lait cru). Or, selon le livre blanc, 53 % des consommateurs ne comprennent pas ces mentions. Ainsi, toute une gamme de produits pourrait voir fleurir l'indication «et aussi après». Le rapport cite l'exemple des industries laitières en norvège qui ont rajouter «mais pas mauvais après» sur des produits » rapporte Le Figaro.