L’ONG a fait part mardi 24 juin de sa satisfaction à l’égard du vote par le Parlement du projet de loi d’orientation et de programmation relative à la politique de développement et de solidarité internationale. « Pour la première fois de la Ve République, le Parlement et la société civile ont pu participer à la définition des orientations de la politique française de développement, que l’UNICEF France a pu enrichir en faveur des enfants les plus vulnérables », indique le communiqué.
L’agence de l’ONU soutient « la vision inclusive et transversale, les priorités géographiques, la démarche d’équité et la place centrale réservée aux femmes » de la France en adoptant ce texte. Ces éléments convergent en effet avec sa vision et ses priorités à l’échelle internationale. Pour rappel, l’UNICEF a pour principale mission de veiller à l’application de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant (CIDE), signée et ratifiée par la France.
En outre, l’UNICEF France exprime sa satisfaction d’avoir été en grande partie entendu, notamment autour de la place des droits de l’enfant dans la politique de développement, l’impératif que représente l’éducation des filles et leur maintien dans le système scolaire, la priorité que représente la lutte contre la malnutrition infantile ou encore la nécessité de mener des politiques de protection de l’enfance dans toutes les zones d’intervention.
L’UNICEF émet néanmoins quelques réserves, s’agissant notamment des droits de l’enfant, qui ne seraient pas explicitement mentionnés dans la loi. Par ailleurs, l’organisme fait état d’un manque de données chiffrées dans le texte de loi, et s’inquiète des derniers chiffres de l’OCDE confirmant la baisse de l’Aide Publique au Développement (APD) française pour 2013. « [La France] a un rôle majeur à jouer dans les progrès mondiaux en faveur des femmes et des enfants, clé de voûte du développement, et nous l’appelons à maintenir et même renforcer ses engagements dans les années à venir », souligne Michèle Barzach, Présidente de l’UNICEF France.
L’agence de l’ONU soutient « la vision inclusive et transversale, les priorités géographiques, la démarche d’équité et la place centrale réservée aux femmes » de la France en adoptant ce texte. Ces éléments convergent en effet avec sa vision et ses priorités à l’échelle internationale. Pour rappel, l’UNICEF a pour principale mission de veiller à l’application de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant (CIDE), signée et ratifiée par la France.
En outre, l’UNICEF France exprime sa satisfaction d’avoir été en grande partie entendu, notamment autour de la place des droits de l’enfant dans la politique de développement, l’impératif que représente l’éducation des filles et leur maintien dans le système scolaire, la priorité que représente la lutte contre la malnutrition infantile ou encore la nécessité de mener des politiques de protection de l’enfance dans toutes les zones d’intervention.
L’UNICEF émet néanmoins quelques réserves, s’agissant notamment des droits de l’enfant, qui ne seraient pas explicitement mentionnés dans la loi. Par ailleurs, l’organisme fait état d’un manque de données chiffrées dans le texte de loi, et s’inquiète des derniers chiffres de l’OCDE confirmant la baisse de l’Aide Publique au Développement (APD) française pour 2013. « [La France] a un rôle majeur à jouer dans les progrès mondiaux en faveur des femmes et des enfants, clé de voûte du développement, et nous l’appelons à maintenir et même renforcer ses engagements dans les années à venir », souligne Michèle Barzach, Présidente de l’UNICEF France.