Audrey Azoulay est en Ukraine et va y annoncer l’évaluation de l’Unesco quant à l’étendue des dégâts. La directrice générale de l’organisation internationale en charge du patrimoine devrait, à en croire franceinfo, avancer des chiffres. « En Ukraine, les destructions dans les secteurs de la culture provoquées par la guerre ont déjà coûté 2,4 milliards d'euros, selon une évaluation faite par l'Unesco que la rédaction internationale de Radio France révèle en exclusivité lundi 3 avril. Ces chiffres seront annoncés dans la journée par Audrey Azoulay, la directrice générale de l'Unesco , en déplacement pour deux jours à Kiev, à Chernihiv, au nord du pays. Elle sera mardi à Odessa, au bord de la mer Noire », annonce la chaine publique d’infos.
Sans surprise, c’est l’est du pays qui est le plus concerné avec plus de la moitié des destructions. « Les deux tiers (plus de 65%) du coût total concernent la destruction de monuments et de sites, soit 1,57 milliard d’euros. Le reste est au détriment des collections d’œuvres, des ateliers d’artistes, et de l’industrie touristique. La région de Donetsk concentre 16% des destructions et celle de Lougansk 9%. Dans ces deux régions, la guerre a commencé en 2014. Elles centralisent, depuis le début de l’hiver, les batailles les plus dures », ajoute franceinfo.
L’Unesco estime que 248 monuments ont été endommagés, pour la plupart des églises orthodoxes. « L’Unesco a aussi évalué les pertes de revenus après plus d’un an de guerre. Près de 14 milliards d’euros se sont définitivement envolés, qu’il faudra compenser pour remettre sur pied une économie en souffrance. Les secteurs concernés sont le tourisme, l’art, mais aussi le sport et l’industrie récréative telle que le cinéma ou le théâtre. L’essentiel de ces pertes concerne Kiev, avec plus de 6,5 milliards d’euros, la capitale ukrainienne ayant été désertée par les touristes depuis le début du conflit », ajoute l’article.
Lire en intégralité l’article de « franceinfo » révélant les grandes lignes du bilan de l’Unesco
Sans surprise, c’est l’est du pays qui est le plus concerné avec plus de la moitié des destructions. « Les deux tiers (plus de 65%) du coût total concernent la destruction de monuments et de sites, soit 1,57 milliard d’euros. Le reste est au détriment des collections d’œuvres, des ateliers d’artistes, et de l’industrie touristique. La région de Donetsk concentre 16% des destructions et celle de Lougansk 9%. Dans ces deux régions, la guerre a commencé en 2014. Elles centralisent, depuis le début de l’hiver, les batailles les plus dures », ajoute franceinfo.
L’Unesco estime que 248 monuments ont été endommagés, pour la plupart des églises orthodoxes. « L’Unesco a aussi évalué les pertes de revenus après plus d’un an de guerre. Près de 14 milliards d’euros se sont définitivement envolés, qu’il faudra compenser pour remettre sur pied une économie en souffrance. Les secteurs concernés sont le tourisme, l’art, mais aussi le sport et l’industrie récréative telle que le cinéma ou le théâtre. L’essentiel de ces pertes concerne Kiev, avec plus de 6,5 milliards d’euros, la capitale ukrainienne ayant été désertée par les touristes depuis le début du conflit », ajoute l’article.
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