Voilà des chiffres qui douchent un peu l’enthousiasme habituel. Alors qu’en suivant au quotidien l’actualité de la RSE, il semble qu’elle est partout et qu’elle ne cesse de progresser, un sondage publié par eCommerce Mag indique le contraire. « Les acteurs du retail n'ont pas encore bien identifié la notion de Responsabilité sociétale des entreprises (RSE) et une majorité des responsables de magasins ne sont pas " véritablement convaincus " de l'impact économique positif de la démarche, selon l'étude Ipsos, en partenariat avec Comerso » explique l’article. Tout en relevant une différence flagrante entre les grandes et moyennes surfaces (GMS) et les grandes surfaces spécialisées (GSS).
« La RSE n'est pas une notion très connue des acteurs du retail : 61% ne connaissent pas l'acronyme. Parmi ceux ayant déclaré connaître la notion, l'aspect environnemental est le mieux assimilé (95% des répondants) mais 53% ne lui associent pas de dimension économique. Au final, 22% seulement savent qu'elle recouvre les trois domaines : économique, environnemental et social. Seulement 29% des interviewés sont " totalement convaincus " que la RSE est un levier d'optimisation économique de l'entreprise. Les enseignes de la GMS ont toutefois une meilleure connaissance de la RSE que les GSS. Depuis février 2016, la loi Garot oblige les commerces de détail alimentaire dont la surface de vente est supérieure à 400 m2 à ne plus jeter de marchandise encore consommable et établir une convention avec des associations caritatives » précise l’article.
Les résultats de ce petit sondage (seulement 160 dirigeants du secteur) sont d’autant plus problématiques que dans la distribution des petits gestes peuvent beaucoup contre le gaspillage ou la solidarité. Seule note positive, dans les grandes et moyennes surfaces les démarches contre le gaspillage auraient progressé, passant d’une moyenne de 5,4 actions en 2017 à 7,2 actions en 2018.
Lire en intégralité l’article de eCommerce Mag sur le site
« La RSE n'est pas une notion très connue des acteurs du retail : 61% ne connaissent pas l'acronyme. Parmi ceux ayant déclaré connaître la notion, l'aspect environnemental est le mieux assimilé (95% des répondants) mais 53% ne lui associent pas de dimension économique. Au final, 22% seulement savent qu'elle recouvre les trois domaines : économique, environnemental et social. Seulement 29% des interviewés sont " totalement convaincus " que la RSE est un levier d'optimisation économique de l'entreprise. Les enseignes de la GMS ont toutefois une meilleure connaissance de la RSE que les GSS. Depuis février 2016, la loi Garot oblige les commerces de détail alimentaire dont la surface de vente est supérieure à 400 m2 à ne plus jeter de marchandise encore consommable et établir une convention avec des associations caritatives » précise l’article.
Les résultats de ce petit sondage (seulement 160 dirigeants du secteur) sont d’autant plus problématiques que dans la distribution des petits gestes peuvent beaucoup contre le gaspillage ou la solidarité. Seule note positive, dans les grandes et moyennes surfaces les démarches contre le gaspillage auraient progressé, passant d’une moyenne de 5,4 actions en 2017 à 7,2 actions en 2018.
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