Un candidat à l’achat sur trois n’obtiendrait pas de moyen de financer son projet. C’est ce qu’estime un responsable du courtier Cafpi cité par Capital. Le mensuel économique rappelle que les taux restent très attractifs. Mais l’argent presque gratuit avec des taux entre 1% et 2% selon les situations, revenus et durées d’emprunt va bénéficier à de moins en moins de personnes si l’on en croit les experts du secteur : « le risque est plutôt de se voir, purement et simplement, refuser l'emprunt. Les rejets de dossiers atteindraient ainsi 10% en moyenne, le double d'il y a un an. "Et encore, il faut tenir compte de l'autocensure des emprunteurs les plus fragiles, ainsi que des dossiers que nous préférons ne plus présenter aux banques", explique Philippe Taboret, directeur général adjoint du courtier Cafpi. En moyenne, selon lui, un tiers des candidats à l'achat ne trouveraient plus à se financer ! »
En début d’année, la consigne a été passée de respecter scrupuleusement le taux d’endettement d’un tiers des revenus imposables. C’était déjà un obstacle de plus. Mais désormais dans un contexte de crise économique, la prise de risque est limitée au strict minimum par les banques. Plus d’apport, des mensualités plus faibles et des critères plus stricts qu’il y a encore quelques mois. Avec des différences selon les stratégies des banques, on voit ainsi évoluer le positionnement global qui consistait à engranger un maximum de contrats pour compenser les faibles intérêts.
« Autant d'exigences qui pénalisent certains clients, des primo-accédants aux investisseurs, en passant par les ménages déjà endettés. Profil par profil, retrouvez les banques encore accommodantes, et les stratégies pour sauver votre projet d'achat » commente Capital en proposant un tour d’horizon selon les profils des personnes qui cherchent à acquérir un bien. Un frémissement qui devrait aussi avoir un impact sur les prix s’il se confirme.
En début d’année, la consigne a été passée de respecter scrupuleusement le taux d’endettement d’un tiers des revenus imposables. C’était déjà un obstacle de plus. Mais désormais dans un contexte de crise économique, la prise de risque est limitée au strict minimum par les banques. Plus d’apport, des mensualités plus faibles et des critères plus stricts qu’il y a encore quelques mois. Avec des différences selon les stratégies des banques, on voit ainsi évoluer le positionnement global qui consistait à engranger un maximum de contrats pour compenser les faibles intérêts.
« Autant d'exigences qui pénalisent certains clients, des primo-accédants aux investisseurs, en passant par les ménages déjà endettés. Profil par profil, retrouvez les banques encore accommodantes, et les stratégies pour sauver votre projet d'achat » commente Capital en proposant un tour d’horizon selon les profils des personnes qui cherchent à acquérir un bien. Un frémissement qui devrait aussi avoir un impact sur les prix s’il se confirme.