Un article en ligne du journal Les Echos explique qu’un « protocole engageant une vingtaine d’acteurs de l’eco-système autour de l’implication des entreprises dans la démarché RSE a été signé par la Banque de France. »
Il ajoute que « l’expérimentation menée dans la région des Pays de Loire depuis près de deux ans, sous la houlette du Centre des Jeunes Dirigeants, d’entrepreneurs locaux, de la Chaire RSE d’Audencia et du monde bancaire représentée par la Banque de France et Fédération bancaire française a été plus que concluante. »
Il ajoute que « l’expérimentation menée dans la région des Pays de Loire depuis près de deux ans, sous la houlette du Centre des Jeunes Dirigeants, d’entrepreneurs locaux, de la Chaire RSE d’Audencia et du monde bancaire représentée par la Banque de France et Fédération bancaire française a été plus que concluante. »
Des critères RSE intégrés
L’article des Echos souligne la nouvelle démarche de la Banque de France : « des critères RSE seront désormais intégrés, chaque fois que c'est approprié, au processus de cotation des entreprises de la Banque de France, une analyse qui établit la capacité des entreprises à honorer ses engagements financiers à un horizon de trois ans, et qui s’appuiera donc aussi désormais sur une analyse qualitative des performances. »
Claude Piot, directeur des Entreprises à la Banque de France, l’affirme :
« Des éléments convergents incitent à penser qu'il existe un lien entre la performance économique et les initiatives RSE, en termes de compétitivité. »
Claude Piot ajoute : « Cette dimension RSE est peu à peu apparue logique à intégrer dans nos analyses qui répondent à l’objectif de prévoir les défaillances et les défauts de paiement. »
Lire l’intégralité de l’article des Echos ici.
Claude Piot, directeur des Entreprises à la Banque de France, l’affirme :
« Des éléments convergents incitent à penser qu'il existe un lien entre la performance économique et les initiatives RSE, en termes de compétitivité. »
Claude Piot ajoute : « Cette dimension RSE est peu à peu apparue logique à intégrer dans nos analyses qui répondent à l’objectif de prévoir les défaillances et les défauts de paiement. »
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