Après une première vie de journaliste, puis essayiste, Aymeric Caron se lance en politique. Dans une tribune publiée par le journal Le Monde, il annonce qu’il veut créer un Rassemblement des écologistes pour le vivant (REV) qui met le paquet sur la défense des animaux.
« Dans sa tribune cosignée avec le juriste Benjamin Joyeux et Malena Azzam, féministe et militante antispéciste, Aymeric Caron pronostique la mort prochaine d'Europe Ecologie-Les Verts. Un «fiasco» qui, selon lui, ne serait pas la seule conséquence «des guerres d'ego et des calculs mercantiles». La faute d'EELV serait liée au fait que ce parti «prône encore une écologie trop anthropocentrée, qui prétend que la nature est au service de l'homme». Bref, une «écologie molle» qui «s'accommode du modèle économique néolibéral» » résume Le Figaro.
Ce ne sera clairement pas un parti de gouvernement avec des mesures largement orientées vers les animaux. Plus de corrida, plus de chasse, fin des zoos ou disparition des animaux dans les cirques. De quoi se mettre à dos déjà pas mal de monde. Mais ce n’est pas tout : fin de la vivisection et transition vers un modèle 100% végétale et donc sans viande…
Une ligne dure qui ne devrait pas mobiliser les foules ni bousculer le paysage politique. Peu importe, l’ancien chroniqueur de Laurent Ruquier a une vision de la politique assez militante puisqu’il propose la désobéissance civique pour obtenir gain de cause. « Dans la revue de gauche radicale Ballast, celui qui se présente comme «anarchiste» se dit aussi soucieux du maintien des structures. Caron veut «concilier la liberté individuelle poussée à son maximum et l'extrême organisation du cadre collectif». Tout en prônant la désobéissance civile pacifique. «Arrêtons massivement de payer, soyons 5 millions à ne plus payer nos impôts — ça bougera» » a repéré Le Figaro. En attendant, peut-être par peur d’un redressement fiscal, Aymeric Caron commence plus doucement et promet une liste aux européennes de 2019.
« Dans sa tribune cosignée avec le juriste Benjamin Joyeux et Malena Azzam, féministe et militante antispéciste, Aymeric Caron pronostique la mort prochaine d'Europe Ecologie-Les Verts. Un «fiasco» qui, selon lui, ne serait pas la seule conséquence «des guerres d'ego et des calculs mercantiles». La faute d'EELV serait liée au fait que ce parti «prône encore une écologie trop anthropocentrée, qui prétend que la nature est au service de l'homme». Bref, une «écologie molle» qui «s'accommode du modèle économique néolibéral» » résume Le Figaro.
Ce ne sera clairement pas un parti de gouvernement avec des mesures largement orientées vers les animaux. Plus de corrida, plus de chasse, fin des zoos ou disparition des animaux dans les cirques. De quoi se mettre à dos déjà pas mal de monde. Mais ce n’est pas tout : fin de la vivisection et transition vers un modèle 100% végétale et donc sans viande…
Une ligne dure qui ne devrait pas mobiliser les foules ni bousculer le paysage politique. Peu importe, l’ancien chroniqueur de Laurent Ruquier a une vision de la politique assez militante puisqu’il propose la désobéissance civique pour obtenir gain de cause. « Dans la revue de gauche radicale Ballast, celui qui se présente comme «anarchiste» se dit aussi soucieux du maintien des structures. Caron veut «concilier la liberté individuelle poussée à son maximum et l'extrême organisation du cadre collectif». Tout en prônant la désobéissance civile pacifique. «Arrêtons massivement de payer, soyons 5 millions à ne plus payer nos impôts — ça bougera» » a repéré Le Figaro. En attendant, peut-être par peur d’un redressement fiscal, Aymeric Caron commence plus doucement et promet une liste aux européennes de 2019.