Un vent défavorable à la cigarette électronique souffle aux États-Unis. Après le Michigan c’est au tour de l’Etat de New York d’interdire certains arômes de la cigarette électronique. La décision est entrée en vigueur le 17 septembre, justifiée par les craintes d’incitations à la consommation pour les jeunes.
Le gouverneur de l’Etat, Andrew Cuomo, avait convoqué en urgence les autorités sanitaires locales pour que des mesures d’urgences soient prises. Un zèle dont la motivation politique n’est même pas dissimulée. Par communiqué, le gouverneur démocrate a ainsi déclaré que « New York n’attend pas le gouvernement fédéral pour agir ». En référence à la déclaration de Donald Trump qui a annoncé que des interdictions seront instaurées au niveau du pays.
Alors que l’OMS a récemment pointé du doigt les risques causés par la cigarette électronique, les Etats-Unis sont particulièrement concernés avec des jeunes qui se mettent directement à vapoter, attirés par des arômes accessibles. « Selon les chiffres du département de la santé de l’Etat de New York, près de 40 % des élèves de terminale vapotent. Les cigarettes électroniques sont pourtant interdites à la vente aux mineurs aux Etats-Unis, l’âge de la majorité se situant entre 18 et 21 ans selon les Etats. En juin, la ville de San Francisco (Californie) était devenue la première ville américaine à interdire la vente de cigarettes électroniques dans les magasins. L’ordonnance, adoptée à l’unanimité des onze élus, bannit aussi leur distribution à une adresse locale et leur fabrication. Elle entrera en application au début de 2020 » rapporte Le Monde.
Après des mois à apparaitre comme la recette miracle contre la cigarette traditionnelle, désormais le problème est pris très au sérieux. « En dehors du problème de l’accoutumance, les politiques, au niveau local comme au niveau fédéral, ont été poussés à agir par ce qui s’apparente désormais à une crise sanitaire. Plus de 380 personnes ont présenté récemment de sérieux problèmes pulmonaires après avoir vapoté et six en sont mortes, selon les derniers chiffres du centre de contrôle des maladies. Mardi, une septième personne est morte, en Californie » conclue Le Monde.
Le gouverneur de l’Etat, Andrew Cuomo, avait convoqué en urgence les autorités sanitaires locales pour que des mesures d’urgences soient prises. Un zèle dont la motivation politique n’est même pas dissimulée. Par communiqué, le gouverneur démocrate a ainsi déclaré que « New York n’attend pas le gouvernement fédéral pour agir ». En référence à la déclaration de Donald Trump qui a annoncé que des interdictions seront instaurées au niveau du pays.
Alors que l’OMS a récemment pointé du doigt les risques causés par la cigarette électronique, les Etats-Unis sont particulièrement concernés avec des jeunes qui se mettent directement à vapoter, attirés par des arômes accessibles. « Selon les chiffres du département de la santé de l’Etat de New York, près de 40 % des élèves de terminale vapotent. Les cigarettes électroniques sont pourtant interdites à la vente aux mineurs aux Etats-Unis, l’âge de la majorité se situant entre 18 et 21 ans selon les Etats. En juin, la ville de San Francisco (Californie) était devenue la première ville américaine à interdire la vente de cigarettes électroniques dans les magasins. L’ordonnance, adoptée à l’unanimité des onze élus, bannit aussi leur distribution à une adresse locale et leur fabrication. Elle entrera en application au début de 2020 » rapporte Le Monde.
Après des mois à apparaitre comme la recette miracle contre la cigarette traditionnelle, désormais le problème est pris très au sérieux. « En dehors du problème de l’accoutumance, les politiques, au niveau local comme au niveau fédéral, ont été poussés à agir par ce qui s’apparente désormais à une crise sanitaire. Plus de 380 personnes ont présenté récemment de sérieux problèmes pulmonaires après avoir vapoté et six en sont mortes, selon les derniers chiffres du centre de contrôle des maladies. Mardi, une septième personne est morte, en Californie » conclue Le Monde.