« En partant d’observations concluant à la présence de différentes substances polluantes dans notre environnement (pesticides, plastifiants, résidus de médicaments, etc), et en analysant des données montrant leurs effets sur le développement hormonal », la scientifique Barbara Demeneix « est parvenue à une conclusion inquiétante : les capacités intellectuelles des générations futures sont sérieusement compromises », explique un article en ligne du site de France Inter.
La fertilité affectée
L’article de France Inter souligne qu’« on sait que les perturbateurs endocriniens affectent la reproduction et la fertilité, ont une incidence sur les cancers, le développement du cerveau, le métabolisme et l’équilibre énergétique. »
Des études récentes montrent que « le nombre d’enfants atteints de dérèglements thyroïdiens congénitaux, de désordres du spectre autistique ou d’hyperactivité est en augmentation constante. »
On peut dès lors se demander si « les causes de tous ces maux étaient davantage environnementales que génétiques ? »
Il faut donc mettre en place de manière urgente des « solutions pour protéger les enfants, mais aussi les adultes, à titre individuel – mais aussi et surtout collectif . »
Lire l’intégralité de l’article de France Inter ici.
Des études récentes montrent que « le nombre d’enfants atteints de dérèglements thyroïdiens congénitaux, de désordres du spectre autistique ou d’hyperactivité est en augmentation constante. »
On peut dès lors se demander si « les causes de tous ces maux étaient davantage environnementales que génétiques ? »
Il faut donc mettre en place de manière urgente des « solutions pour protéger les enfants, mais aussi les adultes, à titre individuel – mais aussi et surtout collectif . »
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