« Des méthodes de lutte ont été développées et ont permis de maintenir un bon niveau de production. La plus largement utilisée dans les conditions de production actuelle reste la lutte chimique, qui n'est pas sans conséquence pour l'environnement et la santé humaine. Un effort majeur est engagé depuis quelques années pour proposer des solutions alternatives efficaces » affirme l’Institut national de la recherche agronomique (Inra), en préambule d’un communiqué sur le biocontrôle.
Ce concept est défini par l’Institut « comme un ensemble de méthodes de protection des cultures basées sur le recours à des organismes vivants ou des substances naturelles. » Il s’agit donc d’un point clé dans les discussions actuelles autour de l’agro-écologie.
Ce concept est défini par l’Institut « comme un ensemble de méthodes de protection des cultures basées sur le recours à des organismes vivants ou des substances naturelles. » Il s’agit donc d’un point clé dans les discussions actuelles autour de l’agro-écologie.
Quatre catégories d’approches en biocontrôle
« La volonté de réduire la dépendance de l'agriculture aux pesticides de synthèse stimule de façon croissante l'innovation dans le domaine du biocontrôle » continue le texte. Ainsi, les chercheurs affirment avoir mis l’accent sur cet aspect. « Depuis plusieurs années des recherches dans le domaine du biocontrôle et développe des collaborations avec les entreprises privées pour proposer des solutions innovantes » lit-on plus loin.
Réaffirmant la nécessité de faciliter la mise sur le marché de produits alternatifs, l’Institut liste les quatre catégories d’approches en biocontrôle. Il s’agit : « des macro-organismes (insectes, nématodes, etc.), des micro-organismes (virus, bactéries ou champignons), des médiateurs chimiques (phéromones) ou des substances naturelles d'origine minérale, végétale ou animale. »
Avec une approche scientifique, l’Inra démontre son positionnement réaliste. Il est en effet impensable de proposer aux agriculteurs de remplacer leurs produits chimiques efficaces par des substances plus respectueuses de l’environnement mais qui affecteraient les rendements. Ce n’est qu’en rendant compétitive les exploitations écologique que la révolution du secteur primaire peut advenir. Démonstration l’agro-éologie ne peut convaincre que si elle est accompagnée d’un nouvel effort dans le soutien à la recherche.
Réaffirmant la nécessité de faciliter la mise sur le marché de produits alternatifs, l’Institut liste les quatre catégories d’approches en biocontrôle. Il s’agit : « des macro-organismes (insectes, nématodes, etc.), des micro-organismes (virus, bactéries ou champignons), des médiateurs chimiques (phéromones) ou des substances naturelles d'origine minérale, végétale ou animale. »
Avec une approche scientifique, l’Inra démontre son positionnement réaliste. Il est en effet impensable de proposer aux agriculteurs de remplacer leurs produits chimiques efficaces par des substances plus respectueuses de l’environnement mais qui affecteraient les rendements. Ce n’est qu’en rendant compétitive les exploitations écologique que la révolution du secteur primaire peut advenir. Démonstration l’agro-éologie ne peut convaincre que si elle est accompagnée d’un nouvel effort dans le soutien à la recherche.