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L’aquaponie, cette méthode qui consiste à utiliser les poissons pour faire pousser les végétaux, est aujourd’hui peu connue mais semble avoir beaucoup de bons côtés pour les plus paresseux du jardinage.
Dans un article du journal Ouest France, c’est Jean-Baptiste Lého qui met en avant sa nouvelle technique de jardinage : l’aquaponie. D’un côté, dans un grand bocal, des poissons ; de l’autre, un peu de terre qui constitue un minuscule jardin. Le tout, en quelques temps, laisse place à diverses plantations qui ont bien poussées…grâce aux poissons.
Dans un article du journal Ouest France, c’est Jean-Baptiste Lého qui met en avant sa nouvelle technique de jardinage : l’aquaponie. D’un côté, dans un grand bocal, des poissons ; de l’autre, un peu de terre qui constitue un minuscule jardin. Le tout, en quelques temps, laisse place à diverses plantations qui ont bien poussées…grâce aux poissons.
« Des déjections de poissons riches en phosphore »
L’aquaponie est une technique de jardinage, à classer dans la famille de l’aquaculture, qui utilise le milieu aquatique avec les végétaux de la terre. L’engrais n’est plus chimique mais naturel, puisque ce sont les déjections de poissons qui permettent aux plantes de pousser. La racine du mot « aquaponie » vient de l’anglais « aquaponics », formés « des mots aquaculture et ethydroponique, c’est-à-dire « culture des plantes par de l'eau enrichie en matières minérales » lit-on sur Wikipedia)
Car les déjections des poissons sont riches en phosphore, en azote et en potassium, et donc sources de nutriments pour les plantes, comme l’engrais classique vendu en magasins spécialisés en jardinage.
Cité par Ouest France, Jean-Baptiste Lého explique que le procédé « est une richesse inexploitée ». Car cette méthode, en plus d’être peu coûteuse, est respectueuse de l’environnement et écologique : « ni pesticide, ni engrais chimique ».
L’aquaponie fait intervenir trois composants majeurs, le tout dans un système écologique respectueux de la nature : les poissons et leurs déjections ; plusieurs bactéries présentes dans l’eau qui transforment l’azote, le phosphore et le potassium des déjections de poissons en matière assimilable par le végétal ; le végétal cultivé, qui se sert de ces nutriments pour grandir.
Car les déjections des poissons sont riches en phosphore, en azote et en potassium, et donc sources de nutriments pour les plantes, comme l’engrais classique vendu en magasins spécialisés en jardinage.
Cité par Ouest France, Jean-Baptiste Lého explique que le procédé « est une richesse inexploitée ». Car cette méthode, en plus d’être peu coûteuse, est respectueuse de l’environnement et écologique : « ni pesticide, ni engrais chimique ».
L’aquaponie fait intervenir trois composants majeurs, le tout dans un système écologique respectueux de la nature : les poissons et leurs déjections ; plusieurs bactéries présentes dans l’eau qui transforment l’azote, le phosphore et le potassium des déjections de poissons en matière assimilable par le végétal ; le végétal cultivé, qui se sert de ces nutriments pour grandir.