L’aspect fait divers n’est pas celui qu’il faut retenir de cette affaire. C’est plutôt le fonctionnement des outils sanitaire du pays qu’il faut regarder de plus près. L’histoire commence lorsque des premiers cas de bébés nés avec sans bras ou sans jambes sont signalés dans le département de l’Ain en 2011. « Une fréquence hors norme (France 2 L’Œil du 20 heures), le nombre de cas de malformations, rapporté au nombre de naissances, est 50 fois plus élevé que la normale. Trois ans plus tard, trois nouveaux cas sont recensés en Loire-Atlantique, autour de Mouzeil, une petite commune située à 15 kilomètres de Nantes. Et en 2015, c’est en Bretagne cette fois, que les autorités sanitaires sont alertées de la présence de nouveaux nés souffrant de la même malformation signale France Bleu Breizh Izel » liste France Bleu .
Après avoir commencé par expliquer que ces malformations devaient être le fruit du hasard, sans parvenir à convaincre les experts de ces questions. Une enquête a tout de même été diligentée et sa publication jeudi 4 octobre est loin de répondre à toutes les interrogations. Lancée après que des cas soient signalés dans le Morbihan, cette étude reconnait qu’il s’agit d’une situation anormale. « Sachant qu'il y a 1555 communes en France où le nombre de naissance moyen était compris entre 50 et 150 sur la période 2011-2013, le nombre de communes dans lesquelles on pouvait s'attendre à observer 4 cas d'ATMS était inférieur à 1. L’événement observé dans la commune de signalement était donc hautement improbable » note le rapport.
Le fait que les naissances se situent entre 2011 et 2013 et qu’aucun autre cas n’ait été signalé ensuite ajoute encore au mystère. A la lecture du rapport qui pose toutes sortes d’hypothèses sur l’environnement agricole, les habitudes des mères pendant la grossesse sans parvenir à déceler une cause probable.
Après avoir commencé par expliquer que ces malformations devaient être le fruit du hasard, sans parvenir à convaincre les experts de ces questions. Une enquête a tout de même été diligentée et sa publication jeudi 4 octobre est loin de répondre à toutes les interrogations. Lancée après que des cas soient signalés dans le Morbihan, cette étude reconnait qu’il s’agit d’une situation anormale. « Sachant qu'il y a 1555 communes en France où le nombre de naissance moyen était compris entre 50 et 150 sur la période 2011-2013, le nombre de communes dans lesquelles on pouvait s'attendre à observer 4 cas d'ATMS était inférieur à 1. L’événement observé dans la commune de signalement était donc hautement improbable » note le rapport.
Le fait que les naissances se situent entre 2011 et 2013 et qu’aucun autre cas n’ait été signalé ensuite ajoute encore au mystère. A la lecture du rapport qui pose toutes sortes d’hypothèses sur l’environnement agricole, les habitudes des mères pendant la grossesse sans parvenir à déceler une cause probable.