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Deux plans de gestion des poissons migrateurs (PLAGEPOMI) ont été validés par Pierre Dartout, le préfet de la région Aquitaine.
Un communiqué de la Préfecture d’Aquitaine souligne les enjeux de ces deux nouveaux plans de gestion.
Un communiqué de la Préfecture d’Aquitaine souligne les enjeux de ces deux nouveaux plans de gestion.
Deux plans pour la préservation des espèces
Ces deux nouveaux plans ont été « élaborés en concertation avec les pêcheurs, les administrations, collectivités territoriales, établissements publics, associations, usagers » et « constituent la 4ème édition des orientations stratégiques visant la préservation et la restauration des espèces migratices suivantes : l'anguille européenne, la grande alose, l'alose feinte, le saumon atlantique, la truite de mer, la lamproie marine et la lamproie de rivière. »
Concrètement, ces plans « fixent par bassin versant, les mesures utiles à la connaissance, la conservation, la restauration et la circulation des espèces concernées ainsi que les actions de soutien d'effectifs et les conditions d'exercice de la pêche. » Par conséquent, ces plan donnent lieu à « des mesures réglementaires ou incitatives », qui « complètent les dispositifs de gestion d'une pêche durable. »
Le communiqué de la préfecture d’Aquitaine rappelle que « le déclin de l'anguille est observé depuis de nombreuses années et fait aujourd'hui l'objet d'un plan national en application d'un règlement européen », et que « la population de saumon reste fragile et nécessite un renforcement du plan de restauration dans tous les domaines de gestion. » A ces deux cas s’ajoute celui de « la grande alose qui fait l'objet d'un moratoire depuis 2007, et de la lamproie marine qui requiert une surveillance accrue. »
Le communiqué souligne que « les causes de cette raréfaction des espèces sont à rechercher dans de nombreux domaines. Mais dans la majorité des cas, le rôle de l'homme dans l'altération des milieux de vie est prépondérant. Le mauvais état des populations de poissons migrateurs a des conséquences économiques non négligeables, parfois majeures, sur les activités professionnelles qui dépendent de leur exploitation. »
Ainsi, ces deux nouveaux plans de gestion des poissons migrateurs « permettront de contribuer à la préservation de la biodiversité. »
Concrètement, ces plans « fixent par bassin versant, les mesures utiles à la connaissance, la conservation, la restauration et la circulation des espèces concernées ainsi que les actions de soutien d'effectifs et les conditions d'exercice de la pêche. » Par conséquent, ces plan donnent lieu à « des mesures réglementaires ou incitatives », qui « complètent les dispositifs de gestion d'une pêche durable. »
Le communiqué de la préfecture d’Aquitaine rappelle que « le déclin de l'anguille est observé depuis de nombreuses années et fait aujourd'hui l'objet d'un plan national en application d'un règlement européen », et que « la population de saumon reste fragile et nécessite un renforcement du plan de restauration dans tous les domaines de gestion. » A ces deux cas s’ajoute celui de « la grande alose qui fait l'objet d'un moratoire depuis 2007, et de la lamproie marine qui requiert une surveillance accrue. »
Le communiqué souligne que « les causes de cette raréfaction des espèces sont à rechercher dans de nombreux domaines. Mais dans la majorité des cas, le rôle de l'homme dans l'altération des milieux de vie est prépondérant. Le mauvais état des populations de poissons migrateurs a des conséquences économiques non négligeables, parfois majeures, sur les activités professionnelles qui dépendent de leur exploitation. »
Ainsi, ces deux nouveaux plans de gestion des poissons migrateurs « permettront de contribuer à la préservation de la biodiversité. »