Ils demandent des augmentations de salaires et d’effectifs. Les aiguilleurs français du ciel ont mis le transport aérien sens dessus dessous aujourd’hui avec un mouvement de grève lancé en métropole et outre-mer.
Le syndicat SNCTA a lancé l’appel qui semble être suivi. « L'organisme s'inquiète «au sujet du niveau actuel de l'inflation ainsi que des recrutements à venir ». Après cette annonce, la direction générale de l'Aviation civile (DGAC) a demandé aux compagnies aériennes de réduire leur programme de vols de 50%. « Des annulations de vols et des retards significatifs sont à prévoir sur l'ensemble du territoire », a précisé la DGAC » nous apprend Le Figaro .
Les compagnies aériennes ont embrayé derrière l’annonce avec des projections sur les conséquences pratiques de ce mouvement de grève. « Du côté des compagnies aériennes, Air France va assurer 90% de ses vols long-courriers et 45% de ses vols courts et moyen-courriers. « Des retards et des annulations de dernière minute ne sont pas à exclure», prévient le groupe. Comme la DGAC, Air France « recommande fortement de reporter son voyage ». Même annonce pour Transavia, la filiale low-cost d'Air France-KLM, qui « réduit son programme de vol de 50% ce vendredi». Cela concernera « l'ensemble des aéroports français », notamment au départ et à l'arrivée d'Orly. Une liste est disponible sur le site de Transavia avec tous les vols concernés. Les passagers «se verront proposer des solutions de report sans frais ou un remboursement intégral », ajoute la compagnie » relaye le quotidien français.
Les compagnies ont dans leur ensemble appelé leurs clients à vérifier le statut des vols. Plusieurs ont pris les devants en annulant des trajets. « Toutes les compagnies aériennes indiquent par ailleurs que les passagers concernés par les annulations ont été contactés par SMS et par e-mail. Ils ont ainsi la possibilité de changer leur vol gratuitement ou d'être remboursé. Ce vendredi n'est que la première journée de grève car le SNCTA a déjà annoncé le dépôt «d'un deuxième préavis du mercredi 28 septembre au vendredi 30 septembre inclus» » conclue Le Figaro.
Le syndicat SNCTA a lancé l’appel qui semble être suivi. « L'organisme s'inquiète «au sujet du niveau actuel de l'inflation ainsi que des recrutements à venir ». Après cette annonce, la direction générale de l'Aviation civile (DGAC) a demandé aux compagnies aériennes de réduire leur programme de vols de 50%. « Des annulations de vols et des retards significatifs sont à prévoir sur l'ensemble du territoire », a précisé la DGAC » nous apprend Le Figaro .
Les compagnies aériennes ont embrayé derrière l’annonce avec des projections sur les conséquences pratiques de ce mouvement de grève. « Du côté des compagnies aériennes, Air France va assurer 90% de ses vols long-courriers et 45% de ses vols courts et moyen-courriers. « Des retards et des annulations de dernière minute ne sont pas à exclure», prévient le groupe. Comme la DGAC, Air France « recommande fortement de reporter son voyage ». Même annonce pour Transavia, la filiale low-cost d'Air France-KLM, qui « réduit son programme de vol de 50% ce vendredi». Cela concernera « l'ensemble des aéroports français », notamment au départ et à l'arrivée d'Orly. Une liste est disponible sur le site de Transavia avec tous les vols concernés. Les passagers «se verront proposer des solutions de report sans frais ou un remboursement intégral », ajoute la compagnie » relaye le quotidien français.
Les compagnies ont dans leur ensemble appelé leurs clients à vérifier le statut des vols. Plusieurs ont pris les devants en annulant des trajets. « Toutes les compagnies aériennes indiquent par ailleurs que les passagers concernés par les annulations ont été contactés par SMS et par e-mail. Ils ont ainsi la possibilité de changer leur vol gratuitement ou d'être remboursé. Ce vendredi n'est que la première journée de grève car le SNCTA a déjà annoncé le dépôt «d'un deuxième préavis du mercredi 28 septembre au vendredi 30 septembre inclus» » conclue Le Figaro.