Le principe de l’affichage environnemental est simple : il s’agit de présenter sur l’emballage d’un produit toutes les informations concernant l’impact écologique lié à sa fabrication. La finalité de cette mesure est de permettre aux consommateurs de disposer de ces informations afin qu’il décide de son achat.
Avant même sa généralisation, la mesure a connu un certain succès. Au cours de la phase d’expérimentation, nombreuses sont les entreprises qui ont en effet adapté ou rénové une ou plusieurs chaînes de production après avoir procédé à la collecte des informations nécessaire pour réaliser leur affichage environnemental. Maison du Monde, qui compte parmi les premières entreprises à participer au dispositif, a ainsi complètement revue la chaîne de production d’un de ses canapés après avoir réalisé que la réduction de son impact environnemental représentait aussi des économies substantielles de matières premières, de transports et de délais.
Mais le dispositif ne fait pas l’unanimité. À l’étranger en effet, la collecte des informations et le respect des normes de production réclamés par les clients français agacent parfois les fournisseurs. Il est vrai qu’à lui seul, l’affichage environnemental des produits suppose des contraintes qui se surajoutent à celle déjà importante imposée par les réglementations européennes – à l’instar de Reach sur les produits chimiques par exemple –. Aux yeux des fournisseurs qui ont l’opportunité de travailler pour des donneurs d’ordres moins exigeants, les entreprises françaises peuvent vite passer pour des clients tatillons dont il peut être souhaitable de se débarrasser.
L’affichage environnemental des produits constitue une initiative positive de transparence et d’information des consommateurs. À terme la généralisation du système permettra d’introduire véritablement la donnée environnementale dans les choix des consommateurs et donc de faire évoluer les marchés de consommation. Mais si l’affichage environnemental constitue une opportunité de différenciation pour les producteurs sur le marché français, il peut aussi constituer un frein auprès des fournisseurs étrangers peu sensibles aux besoins d’information des consommateurs français. Pour amener leurs partenaires chinois, indiens, africains à faire évoluer leur standard en faveur d’une plus grande transparence et d’une traçabilité accrue, les entreprises françaises sont donc amenées à rivaliser d’inventivité. Tout l’enjeu réside encore dans leur capacité à faire de cette demande spécifique d’information, un échange de bons procédés.Le principe de l’affichage environnemental est simple : il s’agit de présenter sur l’emballage d’un produit toutes les informations concernant l’impact écologique lié à sa fabrication. La finalité de cette mesure est de permettre aux consommateurs de disposer de ces informations afin qu’il décide de son achat.
Avant même sa généralisation, la mesure a connu un certain succès. Au cours de la phase d’expérimentation, nombreuses sont les entreprises qui ont en effet adapté ou rénové une ou plusieurs chaînes de production après avoir procédé à la collecte des informations nécessaire pour réaliser leur affichage environnemental. Maison du Monde, qui compte parmi les premières entreprises à participer au dispositif, a ainsi complètement revue la chaîne de production d’un de ses canapés après avoir réalisé que la réduction de son impact environnemental représentait aussi des économies substantielles de matières premières, de transports et de délais.
Mais le dispositif ne fait pas l’unanimité. À l’étranger en effet, la collecte des informations et le respect des normes de production réclamés par les clients français agacent parfois les fournisseurs. Il est vrai qu’à lui seul, l’affichage environnemental des produits suppose des contraintes qui se surajoutent à celle déjà importante imposée par les réglementations européennes – à l’instar de Reach sur les produits chimiques par exemple –. Aux yeux des fournisseurs qui ont l’opportunité de travailler pour des donneurs d’ordres moins exigeants, les entreprises françaises peuvent vite passer pour des clients tatillons dont il peut être souhaitable de se débarrasser.
L’affichage environnemental des produits constitue une initiative positive de transparence et d’information des consommateurs. À terme la généralisation du système permettra d’introduire véritablement la donnée environnementale dans les choix des consommateurs et donc de faire évoluer les marchés de consommation. Mais si l’affichage environnemental constitue une opportunité de différenciation pour les producteurs sur le marché français, il peut aussi constituer un frein auprès des fournisseurs étrangers peu sensibles aux besoins d’information des consommateurs français. Pour amener leurs partenaires chinois, indiens, africains à faire évoluer leur standard en faveur d’une plus grande transparence et d’une traçabilité accrue, les entreprises françaises sont donc amenées à rivaliser d’inventivité. Tout l’enjeu réside encore dans leur capacité à faire de cette demande spécifique d’information, un échange de bons procédés.
Avant même sa généralisation, la mesure a connu un certain succès. Au cours de la phase d’expérimentation, nombreuses sont les entreprises qui ont en effet adapté ou rénové une ou plusieurs chaînes de production après avoir procédé à la collecte des informations nécessaire pour réaliser leur affichage environnemental. Maison du Monde, qui compte parmi les premières entreprises à participer au dispositif, a ainsi complètement revue la chaîne de production d’un de ses canapés après avoir réalisé que la réduction de son impact environnemental représentait aussi des économies substantielles de matières premières, de transports et de délais.
Mais le dispositif ne fait pas l’unanimité. À l’étranger en effet, la collecte des informations et le respect des normes de production réclamés par les clients français agacent parfois les fournisseurs. Il est vrai qu’à lui seul, l’affichage environnemental des produits suppose des contraintes qui se surajoutent à celle déjà importante imposée par les réglementations européennes – à l’instar de Reach sur les produits chimiques par exemple –. Aux yeux des fournisseurs qui ont l’opportunité de travailler pour des donneurs d’ordres moins exigeants, les entreprises françaises peuvent vite passer pour des clients tatillons dont il peut être souhaitable de se débarrasser.
L’affichage environnemental des produits constitue une initiative positive de transparence et d’information des consommateurs. À terme la généralisation du système permettra d’introduire véritablement la donnée environnementale dans les choix des consommateurs et donc de faire évoluer les marchés de consommation. Mais si l’affichage environnemental constitue une opportunité de différenciation pour les producteurs sur le marché français, il peut aussi constituer un frein auprès des fournisseurs étrangers peu sensibles aux besoins d’information des consommateurs français. Pour amener leurs partenaires chinois, indiens, africains à faire évoluer leur standard en faveur d’une plus grande transparence et d’une traçabilité accrue, les entreprises françaises sont donc amenées à rivaliser d’inventivité. Tout l’enjeu réside encore dans leur capacité à faire de cette demande spécifique d’information, un échange de bons procédés.Le principe de l’affichage environnemental est simple : il s’agit de présenter sur l’emballage d’un produit toutes les informations concernant l’impact écologique lié à sa fabrication. La finalité de cette mesure est de permettre aux consommateurs de disposer de ces informations afin qu’il décide de son achat.
Avant même sa généralisation, la mesure a connu un certain succès. Au cours de la phase d’expérimentation, nombreuses sont les entreprises qui ont en effet adapté ou rénové une ou plusieurs chaînes de production après avoir procédé à la collecte des informations nécessaire pour réaliser leur affichage environnemental. Maison du Monde, qui compte parmi les premières entreprises à participer au dispositif, a ainsi complètement revue la chaîne de production d’un de ses canapés après avoir réalisé que la réduction de son impact environnemental représentait aussi des économies substantielles de matières premières, de transports et de délais.
Mais le dispositif ne fait pas l’unanimité. À l’étranger en effet, la collecte des informations et le respect des normes de production réclamés par les clients français agacent parfois les fournisseurs. Il est vrai qu’à lui seul, l’affichage environnemental des produits suppose des contraintes qui se surajoutent à celle déjà importante imposée par les réglementations européennes – à l’instar de Reach sur les produits chimiques par exemple –. Aux yeux des fournisseurs qui ont l’opportunité de travailler pour des donneurs d’ordres moins exigeants, les entreprises françaises peuvent vite passer pour des clients tatillons dont il peut être souhaitable de se débarrasser.
L’affichage environnemental des produits constitue une initiative positive de transparence et d’information des consommateurs. À terme la généralisation du système permettra d’introduire véritablement la donnée environnementale dans les choix des consommateurs et donc de faire évoluer les marchés de consommation. Mais si l’affichage environnemental constitue une opportunité de différenciation pour les producteurs sur le marché français, il peut aussi constituer un frein auprès des fournisseurs étrangers peu sensibles aux besoins d’information des consommateurs français. Pour amener leurs partenaires chinois, indiens, africains à faire évoluer leur standard en faveur d’une plus grande transparence et d’une traçabilité accrue, les entreprises françaises sont donc amenées à rivaliser d’inventivité. Tout l’enjeu réside encore dans leur capacité à faire de cette demande spécifique d’information, un échange de bons procédés.