Ayant un impact négatif sur notre santé en provoquant diverses maladies respiratoires, la pollution provoque également un ralentissement de notre activité physique, « ce qui accroît notre sédentarité. »
Un article en ligne du journal Le Parisien met en avant les conclusions d’une « étude de Withings, leader de la santé connectée et d’Accuweather et spécialiste de l’information météorologique. »
Un article en ligne du journal Le Parisien met en avant les conclusions d’une « étude de Withings, leader de la santé connectée et d’Accuweather et spécialiste de l’information météorologique. »
Pékin et Paris
L’article du Parisien explique que « pendant un an, les deux entreprises ont compilé le niveau d’activité de 5000 personnes équipées de tracker d’activité mesurant leur nombre de pas et leur activité physique à Paris, Pékin et Los Angeles. »
Ainsi, elles ont collecté « des données croisées avec les niveaux de pollution dans ces métropoles. C’est Pékin, dont les habitants vivent en ce moment même leur première alerte maximale à la pollution, qui est la plus touchée par ces épisodes, avec, selon l’étude, seulement 3 % de jours avec une bonne qualité de l’air contre près de 47 % de ‘jours préjudiciables pour la santé’ et même 18 % de journées carrément dangereuses. »
Par conséquent, « les Pékinois augmentent leur durée moyenne d’exercice de 21 % les rares jours non pollués par rapport à ceux qui sont qualifiés ‘très préjudiciables’. Une attitude plutôt sage et d’ailleurs conforme aux messages de prévention délivrés en cas d’alerte à la pollution. »
L’article ajoute qu’ « à Pékin comme à Paris, les autorités recommandent, notamment aux personnes fragiles, de ne pas pratiquer de sport en extérieur quand les seuils de pollution sont dépassés. Explication : quand on fait du sport, on ouvre ses bronches et on inhale donc bien plus de particules viciées. La course à pied est particulièrement déconseillée. »
L’article précise qu’ « à Paris, mais surtout à Los Angeles, où la pollution n’atteint heureusement pas le niveau de Pékin, on croise pourtant autant de joggeurs dans les parcs pendant les pics qu’en période ‘normale’. » Il ajoute que « l’étude de Withings confirme que dans ces deux villes, on ne note pas de modification de la pratique sportive en fonctions des concentrations de particules fines ou autre dioxyde d’azote dans l’air. Sans doute, suggèrent les auteurs de l’étude, parce qu’il faut atteindre des seuils critiques pour que les gens prennent conscience du phénomène. »
Lire l'intégralité de l'article du Parisien ici
Ainsi, elles ont collecté « des données croisées avec les niveaux de pollution dans ces métropoles. C’est Pékin, dont les habitants vivent en ce moment même leur première alerte maximale à la pollution, qui est la plus touchée par ces épisodes, avec, selon l’étude, seulement 3 % de jours avec une bonne qualité de l’air contre près de 47 % de ‘jours préjudiciables pour la santé’ et même 18 % de journées carrément dangereuses. »
Par conséquent, « les Pékinois augmentent leur durée moyenne d’exercice de 21 % les rares jours non pollués par rapport à ceux qui sont qualifiés ‘très préjudiciables’. Une attitude plutôt sage et d’ailleurs conforme aux messages de prévention délivrés en cas d’alerte à la pollution. »
L’article ajoute qu’ « à Pékin comme à Paris, les autorités recommandent, notamment aux personnes fragiles, de ne pas pratiquer de sport en extérieur quand les seuils de pollution sont dépassés. Explication : quand on fait du sport, on ouvre ses bronches et on inhale donc bien plus de particules viciées. La course à pied est particulièrement déconseillée. »
L’article précise qu’ « à Paris, mais surtout à Los Angeles, où la pollution n’atteint heureusement pas le niveau de Pékin, on croise pourtant autant de joggeurs dans les parcs pendant les pics qu’en période ‘normale’. » Il ajoute que « l’étude de Withings confirme que dans ces deux villes, on ne note pas de modification de la pratique sportive en fonctions des concentrations de particules fines ou autre dioxyde d’azote dans l’air. Sans doute, suggèrent les auteurs de l’étude, parce qu’il faut atteindre des seuils critiques pour que les gens prennent conscience du phénomène. »
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